Ecritures inspirées

Bonjour à tout le monde <3 j'espère que vous allez bien :D je vous transmet un message reçu à l’instant ❤

Merci à cet esprit-guide de m’avoir transmis ce message (Emilie vous la reconnaitrez peut être car c’est celle qui est venue vous transmettre des messages lors de votre guidance d’aujourd’hui 

Va au-dehors profitez de la grâce qui est offerte à tes sens et en ton cœur. Vois la beauté de cette fleur, sens son parfum délicat, touche sa douceur, entend son calme : nul besoin de parole ici, ce qui se ressent ; se ressent dans le silence. Ressent justement cela en ton cœur. Ainsi cette « simple » fleur t’aura offert un cadeau précieux : le cadeau du ressenti pour tous tes sens mais aussi par ton cœur. La nature est ainsi : elle offre des présents en votre cœur. Elle vous offre humblement et simplement ce cadeau du présent : cette connexion à notre Mère, cette connexion à la plus petite pureté de la vie. Celle qui est, qui demeure, fugace, fragile, belle et pourtant si riche d’enseignement à qui sait voir avec le cœur. Lorsque tu te sens perdue, en manque de ce lien à la Mère vas humer, vas voir, vas toucher, vas ressentir la beauté de la vie offerte par la Nature. Reconnecté(e) à la Mère par un lien d’enracinement tel le cordon ombilical qui nourrit l’enfant dans le ventre de sa mère. Tu te sentiras simplement en vie et présente à cette vie qui palpite là sous tes mains, en ton cœur. Nul ne sert de grand rituel ici : vis et ressens l’énergie pure et simple de la vie. Ici tu peux pleurer de joie devant tant de beauté. Ici tu peux toucher du doigt l’éternel car c’est aussi ici que se niche le Père et la Mère.

Amadeus (celui qui aime Dieu)

Le cœur est un passage.

C’est là que passe la communication : par l’ouverture de cœur. C’est un appel, une élévation vers la lumière. C’est un envol sur les ailes de l’amour. Là où votre âme rayonne de tout son être.

Rester centrer en son cœur est la meilleure façon de nous entendre. Et cela tout le monde peut le faire.

Ouvrez votre cœur par la visualisation ou la méditation. Mais avant tout : croyez en vous ! Et faites confiance à votre être divin : lui connait le chemin vers Dieu (ou la divinité au sens large). Laissez-le-vous y mener.

Suivez le courant tout simplement, laissez-vous aller et déployer vos belles ailes.

Ne croyez pas qu’il faille multiplier les efforts, cela doit être un abandon non une lutte. Cela doit être léger comme les ailes des oiseaux. Cela doit être doux, soyeux et libérateur. Cela ne doit pas être un fardeau ou une lourdeur. Bien au contraire, cela est comme revenir chez vous par le biais de votre cœur. Cela est un retour chez vous. Dans le siège même de l’amour Universel. Votre cœur est le plus court chemin vers Dieu parce que c’est là que réside ce que vous appelez Dieu. Peu importe les croyances, Dieu a mille visages mais une seule voix : le cœur.

Nouveau message de mon guide ;) bonne lecture à ceux qui passeront par-là <3

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Manger en conscience pour nourrir le corps sans alourdir l’esprit.

Lorsque on se nourrit mal cela est souvent inconsciemment un signe de punition (de soi pour soi). On se fait souffrir (on fait souffrir notre corps) pour nous punir de quelque chose.

C’est aussi signe de dépréciation de soi pour soi souvent (mais pas toujours) induit par un manque de confiance et d’estime à la fois pour soi-même mais aussi en reflet de la confiance et l’estime extérieur (des autres vers nous).

Mais le reflet est vu et observé à travers un prisme déformant et déformé. Notre mental ne nous renvoyant pas la bonne image de nous. Mais une image polluée par nos blessures d’amour et tous nos doutes.  Il convient alors de changer de perspective et de briser ce reflet déformé. D’en construire un nouveau avec plus de bienveillance et d’amour pour soi-même.

Le tout est de le faire avec amour, douceur, tendresse et patience pour notre « soi-même » qui a été trop souvent (et depuis trop longtemps) meurtri, humilié, blessé et rejeté par ce même « soi-même ».  C’est un réapprentissage de sa propre relation à soi comme si l’on se regardait à nouveau pour la première fois.

Et le corps, véhicule physique de ce soi dévalorisé, fait souvent les frais de ce rejet inconscient et de ce mal d’amour pour soi. Tantôt délaissé, tantôt maltraité dans l’alimentation mais aussi dans des habits non adaptés, trop serrés ou pas assez à l’écoute de ses formes, dans trop de souffrance sportive ou trop d’inaction, ce corps est oublié dans une volonté de ne pas voir ce qui de prime abord ne semble pas nous plaire.

Revenir à cet amour simple ; c’est votre corps. Aimez-le inconditionnellement au-delà de sa taille, de son image et de sa forme. Alors il pourra s’épanouir dans l’amour et la bienveillance.

<3 <3 <3 Merci <3 <3 <3

Voici le message que m’a transmis mon guide hier, alors que je lui demandais quelques conseils dans notre rôle de parent ! Merci à lui pour cette inspiration et j’espère que cela pourra aussi vous parler et vous aider <3

La vie avec les enfants peut être comparée à une traversée en bateau. Tantôt le voyage est calme et serein (la mer est calme) et tantôt l’orage gronde (la mer est agitée). C’est-à-dire tantôt vous passez par des moments calmes, de détente et de sérénité et tantôt c’est l’agacement, l’énervement (pour vous, pour eux ou pour vous deux !) et les tensions sont là !

Vous, vous êtes la barque ! C’est vous qui diriger et vous devez en permanence vous adapter, être flexible face au climat qui se compose au gré du vent, de la pluie, du soleil, du courant marin, des vagues, etc. ; mais aussi face à des rencontres: des créatures marines, des autres embarcations (des amis ou des pirates ?), des rochers etc. [(les aléas du temps sont comme les aléas de vos émotions et les rencontres pourraient, elles, symboliser les événements de la vie que vous vivez)] Bref, vous l’aurez compris : ce n’est pas un voyage sur un long fleuve tranquille et vous vivez  tout un tas d’aventures : des magnifiques, des drôles, des vibrantes, des bouleversantes, des très sales (les enfants adorent sauter dans la boue, jouer avec le maquillage de maman, écrire sur les murs et tout et tout…)  D’autres juste « grrrr ils m’éééénerveeennnnttttt » d’autres encore effrayantes ou bien des câlines, des douces, des joyeuses etc. (bref la vie :D ).  En fonction de cela, Vous devez maintenir le bateau à flot, l’orienter, l’équilibrer et veiller à son entretient pour que le voyage se poursuive le plus paisiblement possible !

Au final : Vous devez en permanence naviguer entre poser des limites (poser un cadre à vos enfants) et lâcher prise. C’est-à-dire entre leur fixer des règles (avec une autorité naturelle, légitime mais juste et en accord avec vous) et les laisser être libre (libre d’être ce qu’ils sont dans leur personnalité et leur choix). Toujours le voyage se fait entre ces deux zones : limites et liberté. Vous devez en permanence vous équilibrez entre les deux car il n’y a jamais une immobilité en mer. Le mouvement est toujours là et le bateau doit toujours tanguer en équilibre entre les vagues et les courants.

Dans la vie il en est de même : la vie n’est pas immobile et il faut en permanence s’équilibrer pour avancer. La marche elle-même est à l’image de ce bateau qui tangue : un pied après l’autre, le corps se mettant en mouvement et s’équilibrant de lui-même dans ce même mouvement.

Parfois vous faites des erreurs entre le trop de limites et le trop de lâcher prise et vous devez alors revenir à l’équilibre au risque que l’embarcation ne finisse par prendre l’eau.

Ces erreurs sont tout à fait normales car vous apprenez aussi à naviguer et cela s’apprend au fur et à mesure du voyage. Là encore rien n’est figé et l’apprentissage se poursuit jusqu’à la fin ! A chaque vague et à chaque accalmie qui arrivent ! (A chaque âge son apprentissage pour le parent comme pour l’enfant !).

Remarquez qu’il n’y a pas de fatalité non plus, si l’embarcation prend l’eau vous pouvez écoper. Et si le bateau coule alors rejoignez la terre ferme pour faire une pause et re-fabriqué un radeau, petit d’abord puis  re-devenant bateau au fil de ses réparations ! Mais jamais il n’y a de fatalité : même lorsque tout va mal que la tempête gronde il y a toujours des solutions qui finissent par se présenter. Il faut alors continuer, avoir la foi et croire en vous tout autant qu’à votre enfant. Laissez la vie se charger du reste. Parfois cela dure longtemps, parfois c’est rapide. Là encore les règles fixes n’existent pas !

Parfois encore ce sont des éléments extérieurs qui viennent perturber la traversée. Des éléments sur lesquels vous n’avez pas toujours prises : un gros bateau qui vous entraine dans son sillage avec fortes vagues et tracas ! Ou encore des rochers ici et là qui vous forcent à changer de cap ou à faire des réparations après les avoir heurtés…la traversée n’est pas toujours simple même si vous traversez en paix avec vous-même ! C’est à l’image de la vie : des perturbations extérieures sont là et vous devez en permanence réajuster votre navigation. La vie suit son chemin et la vie trouve toujours un chemin, même si c’est long, même si c’est détourné !

Vos enfants doivent grandir entre repères sains, limites claires et rassurantes mais aussi dans un espace sacré de liberté. Pour que leur personnalité, leur estime de soi, leur confiance soient fortes et belles. Pour éviter qu’adulte ils ne reproduisent un schéma souvent ancré chez les hommes : celui du masque porté et de la difficulté à être soi-même.

Ecoutez votre cœur et n’oubliez jamais la voix du cœur de vos enfants qui elle aussi doit être entendue ! Les deux sont importantes, les deux doivent vibrer et s’accorder au gré des vagues.

Soyez souple et flexible avec vos enfants mais aussi avec vous-même. Ne restez pas enfermés dans des croyances fermées sur l’éducation ou sur les enfants. Soyez équilibre. Soyez souplesse. Adaptez-vous non pas à ce que vous croyez de l’éducation, mais adaptez-vous à votre enfant à l’instant présent ! Et laissez votre enfant s’adaptez aussi à vous à l’instant présent. Car chaque personnalité doit s’accorder et se laisser vivre. Vous devez vous adapter aussi aux événements, aux cycles même de votre vie. Chaque jour est différent et vous devez assouplir votre vision à ce qui est vécu de part et d’autre (c’est-à-dire en vous mais aussi en votre enfant). Cela veut dire que ce qui est valable un jour ne l’est pas forcément le lendemain : les circonstances sont mouvantes et de ce fait vous devez tantôt être plus ferme (poser le cadre) tantôt être plus dans la liberté du laissé faire (lâcher prise). Soyez souple comme le roseau pour que la justesse soit toujours au cœur de vous-même en parfait accord avec l’énergie du moment et avec l’énergie de vos deux cœurs (le vôtre et celui de votre enfant). En vérité il n’y a aucune règle ou plutôt la règle est mouvante et non fixe. Comme l’eau sans cesse en mouvement.

Etre parent n’est pas le plus facile des voyages :) la traversée n’est pas toujours aisée. Etre parent, c’est naviguer vers l’inconnu, parfois dans des eaux tumultueuses et troubles ; parfois dans des eaux aussi claires que du cristal sous un soleil merveilleux car être parents c’est aussi recevoir encore et encore beaucoup d’amour et en transmettre encore plus ! C’est aussi c’est être souvent fatigué et apeuré de ne pas mener son ou ses enfants de la meilleure façon qui soit. Non, ce n’est certes pas toujours facile…Mais ce sera toujours votre plus beau voyage… <3

Laisse-toi emporter par le chant céleste de la vie qui carillonne autour de toi.
Il suffit de te laisser porter par cette mélodie, simplement comme tu te laisses emporter par une musique agréable à tes oreilles. Nul ne sert de comprendre cette musique pour en apprécier les accords. Avec la vie il s’agit de ce même abandon, loin des questions, loin de la tentative de compréhension.

Par moment dans vos vies il est temps d’apprendre, de comprendre et d’expérimenter en ce sens.
Par moment en revanche il convient simplement de se laisser porter pour vivre l’expérimentation, viendra ensuite le temps de la comprendre. Mais si vous ne la vivez pas à l’instant comment penser même - espérer même - la comprendre ? Elle ne fait que vous échappez…

Vivre c’est aussi cela : être dans cet abandon, tel l’enfant. Ne plus se positionner avant ou après l’instant, mais vivre l’instant.
Théoriser sur l’instant présent est inutile sur le moment. Ho cela peut avoir son intérêt et cela est intéressant…mais pas toujours…il y a un temps pour tout, un lieu pour chaque chose et pour chaque expérimentation.

Et là à cet instant il faut vous abandonnez à la vie qui chante….

Développer son intuition, sa médiumnité ou autre capacité demande du temps.

Cela peut contrarier surtout dans notre société ou nous avons tellement l’habitude que tout aille vite. Tout avoir à porter de clic que ce soit l’information, les objets ou la spiritualité !

Prendre son temps c’est poser des bases saines et solides sur lesquelles s’appuyer. Si je bâcle mes fondations, certes je construirais mon immeuble plus vite, mais à la première bourrasque de vent venu tout s’écroulera…Alors que si je prends mon temps je mettrais peut-être plus de temps pour construire ma petite maisonnette mais au moins je serais dans une démarche authentique, forte et fiable et je ne craindrais nulle tempête !

Dans ce domaine particulièrement il nous faut du temps. A trop vouloir « avoir » les capacités vite on en oublie une chose primordiale : c’est une quête, un voyage…un voyage initiatique.

Si on va trop vite on ne voit de notre voyage que les sites touristiques, certes intéressants, mais lieux communs ou tout le monde va. On reste en surface, on ne visite pas ce qui fait l’âme du lieu, de la région, du pays ou de ces habitants.

Au final on avance très lentement en voulant aller trop vite…c’est ironique avouez :D

L’avantage de prendre son temps c’est que l’on peut travailler pas à pas sur nos blocages intérieurs. C’est nécessaire pour apprendre sur soi et pour petit à petit dépasser nos propres limites. Limite par limite, comme autant de digue qui saute en nous. Ainsi nous pouvons aller toujours plus loin : en nous construisant nous-même en même temps que l’on construit notre pensée et notre vérité grâce à l’expérimentation.

Chaque étape, chaque expérience, chaque apprentissage, nous permet d’avoir la clé d’une compréhension qui ouvre une porte en nous. De porte en porte on grandit, on devient ou redevient soi-même avec une conscience de plus en plus élargie.

Sans compréhension la porte reste fermée. Et on aura bon avoir l’exigence qu’elle s’ouvre elle restera close ! Et c’est tant mieux, tout est très bien fait, la sagesse ne vient pas avant l’heure et ici nulle tricherie possible. On peut se proclamer autant que l’on veut sage et instruit : seule la vérité authentique au cœur même de l’expérience nous donne la clé en même temps que l’accès de la porte en nous. Nous sommes la clé et la porte en même temps…encore faut-il prendre le temps de la trouver en soi !

Prendre son temps c’est repousser peu à peu ses propres limites pour peu à peu agrandir son champ de vision et un beau jour voire le monde dans son ensemble. Le monde non pas tel que je me le représente mais tel qu’il est vraiment. Et cela demande du temps, beaucoup de temps ! C’est un bel objectif à avoir en tête de mire, peut-être est-il comme l’horizon : toujours devant soi, toujours à atteindre, mais peu importe car le voyage est seul important au final !

(Peinture de Dali)

Je reste fidèle à ce que je suis, à qui je suis. J’ai mon univers et plutôt que de le fuir pour me conformer au monde je l’assume, le vis pleinement et le fait vivre au travers de mes rêves, de mes aspirations, de mes souffrances parfois et de mes rires, souvent !

Je suis moi dans ma simple complexité de l’être. Je n’attends pas l’autorisation pour être moi-même, je me le dois, je reste moi quoi qu’il advienne.

Je ne fuis plus, je me retrouve devant mon propre reflet, je m’assume, m’accepte pleinement dans mes zones d’ombre comme dans ma lumière.

Je décide en ce jour de créer, d’exprimer et de respecter l’être que je suis pour renaitre à moi-même à la fois nouveau et à la fois ancien. Je suis à la fois le nouveau moi, réinventé par mes soins et à la fois cet ancien moi à qui je pardonne, que je serre dans mes bras et que j’apprends à aimer jour après jour malgré ses erreurs et ses défauts.

Et à ceux qui ne serait pas en accord avec ce que je suis, avec ce que je souhaite aujourd’hui émettre, dégager et exprimer alors je leur dis, très clairement : « Accepte-moi ou passe ton chemin ! L’un ou l’autre me convienne, j’ai fait un choix, à toi de faire le tien ! Ne prétends pas savoir, ne prétend pas comprendre ce qui est bon ou mauvais pour moi. Car tu ne comprends pas, car tu ne sais pas ! Fais tes propres choix de vie et laisse-moi le loisir et la liberté de faire de même. »

Parce qu’à partir d’aujourd’hui je reste moi, authentique et vrai. J’embrasse avec tendresse mes défauts et mes égarements, ils font partie de moi tout autant que mon amour et mon étincelle divine.

L’obscurité n’est pas toujours ce que l’on croit, la terre est sombre en son sein, la graine a besoin de ce coin obscur pour pousser et grandir au soleil ensuite. Cela n’est pas toujours aisé, elle doit se frayer un passage dans la terre humide et sombre. Mais forte de cela elle donne naissance aux fruits nourriciers. Même l’enfant a besoin de cette tranquille obscurité, dans le sein de sa mère, pour se construire et pouvoir renaitre au soleil.

Nous avons besoin de la nuit pour nous endormir et nous ressourcer auprès des étoiles. La Lune est tout aussi nécessaire à la vie que l’astre Soleil. Tout est question d’équilibre.

J’embrasse mes zones d’ombre, je les travaille, je ne me laisse pas happer par elles mais je les accepte et tente jour après jour de les équilibrer et de les transmuter. C’est à cette condition que la graine que je suis pourra émerger pleinement au soleil et libérer tout son potentiel pour donner naissance au fruit que je porte en moi.

Tout ce que je vis est une préparation pour cette renaissance. L’acceptation et la transmutation de ma dualité en sont partie prenante.

Je me fais la promesse de ne point me renier et de m’apporter autant d’eau, de nourriture que nécessaire pour ma croissance et ma renaissance.

Qu’il en soit ainsi

Je flâne et plane dans ma vie, je laisse aller tous les soucis.

Je ne me préoccupe pas, ou plus, de ce que l’on pense de moi.

Des projections que l’on peut faire, de ce que l’on peut dire.

Je laisse aller cela dans le calme le plus doux et le plus bienveillant.

Je suis léger(e) comme une plume, je m’envole au gré du vent. Je me laisse porter sans crainte car le vent me porte et m’emmène précisément là où je dois aller.

Comme la plume je n’oppose aucune résistance au vent…

Ce que l’on peut penser de moi, ou de la voie que j’ai choisie n’est qu’une projection que l’on pose sur moi, ce n’est ni moi ni ma vérité. C’est moi vu par le prisme du mental de l’autre.

Quoi qu’il arrive je suis comme la plume : je ne sais rien de ma route, je ne sais rien de ce que le vent me réserve.

Quoi qu’il arrive je sais que je ne sais rien…je reviens à mon essentiel, à mon humilité. Je ne suis qu’une plume dans le vent. Qui suis-je même pour essayer de comprendre le vent, ses courants, sa force, sa tendresse et sa volonté ?

La compréhension, la vérité sont aussi insaisissable que le vent : lorsque je crois comprendre je m’aperçois que ma main s’est refermée…sur le vide…Qui croit savoir ne sait au final pas grand-chose…le savoir est comme le vent il ne se possède pas. En tout cas il ne se possède pas comme je peux le croire en temps d’égarement…

En me laissant porter par le vent j’oublie mes interrogations et mes réflexions, je suis dans l’instant de mon vol, ce qu’il s’est passé, le pourquoi du comment ne m’intéresses plus, je suis dans ce moment d’intimité entre le vent et moi. Plus rien n’existe que ce que je ressens ; je vis, je respire, je suis dans le mouvement même de la vie.

C’est sans doute dans ces moment-là que je comprends le plus de choses…car je ne cherche pas à m’approprier un savoir, je le vis et le comprends dans l’instant d’éternité que je vis. Là je suis authentique, je me pare d’aucun artifice, je ne cherche pas à exister au-delà de ce moment. Je ne cherche ni regard, ni approbation, ni connaissance. Je suis simplement une plume dans le vent....

Lorsque tu ne sais pas, lorsque tu doutes, avoues ton ignorance et tes hésitations.

Lorsque tu le fais tu ne te montres pas faible, bien au contraire ! Tu montres la force de ton cœur sincère et humble. Tu es au-delà de l’égo.

Tu seras surpris si tu le fais, de l’accueil de tes proches, qui loin de te juger négativement trouveront noble ton aveu. Ceux qui t’aiment seront bien plus touchés de ta sincérité que de tes faux semblants pour garder la face !

Là tu es dans l’humilité, sans fard tel que tu es vraiment.

Ne pas savoir, douter, avoir peur, se tromper, n’est pas une honte tant qu’on l’assume et qu’on l’avoue simplement. Le reconnaitre, se l’avouer et l’avouer au monde dans une société prompte au jugement et à la critique c’est du courage. Et c’est être sage !

Et puis comment apprendre si on n’accepte pas notre ignorance ?

Comment travailler et aller au-delà de nos doutes si on ne les pose pas avec des mots ? Encrer cela par des mots permet de se dépasser et d’aller de l’avant dans l’humilité sincère.

En le faisant tu écartes de ton cœur la culpabilité et les jugements sur toi-même, car ils ne sont plus utiles : tu acceptes simplement tes limites et tu es de ce fait prêt à les dépasser !

Ainsi tu évolues dans une relation saine et honnête vis-à-vis de toi comme d’autrui. Et ce qui apparaissez comme une faiblesse devient une force ! Car cela revient à être soi tout simplement…

Ainsi tu es dans un alignement parfait car tu es juste envers toi comme envers les autres.

C’est aussi la possibilité pour ton entourage de te prendre en exemple, non pas parce que tu fais quelque chose d’extraordinaire, non pas parce qu’ils t’idolâtrent, mais simplement parce que tu les encourages implicitement à reconnaitre à leur tour leur ignorance et leurs doutes. Parce qu’ils verront que ce n’est pas un tort de le faire, ils sauront aussi que tu ne les jugeras pas s’ils le font ! En en toute simplicité tu ouvres la voie à tes amis, à ta famille à se montrer humble et honnête !

Car lorsque tu ouvres ton cœur (car il s’agit de cela aussi et surtout !) tu invites les autres à le faire, mieux : tu les aides par l’énergie que tu dégages ! Il s’en suit une réaction en chaine, une ouverture qui permet à l’ouverture de venir…Et en étant dans cette honnêteté, dans cette ouverture de ce fait, tu nous permets à nous guides et anges d’être au plus près de toi ! Tu n’es plus enfermé en toi-même dans tes doutes et tes ignorances, tu te libères d’un poids qui permet l’envol et qui nous permet de nous envoler avec toi !

Je t’invite à faire de ce qui parait comme un aveu de faiblesse, une force ! Car c’est une illusion de faiblesse et ta force est de le comprendre et de le transcender dans l’amour, l’humilité et l’honnêteté !

Les destins sont mêlés et inter mêlés. Chacun de vous évolue en parallèle des autres et au travers des autres. Aucune évolution, spirituelle ou matérielle, n’est possible sans cette interaction entre les âmes. Que cette interaction soit porteuse de rêve, d’espoir ou porteuse de doutes, peur elles agissent comme un miroir vous permettant d’apprendre et de comprendre.

Tout est lié, inter connecté, il ne peut ni ne doit en être autrement ici comme ailleurs.

Vous avez besoin les uns des autres pour avancer et évoluer, tout se passe à la fois en vous et autour de vous. Par ce que vous vivez dans votre relation à l’autre vous évoluez et lui de même. Certes l’expérience est individuelle car non vécue de la même manière, mais les deux expériences sont imbriquées l’une avec l’autre. Il appartient ensuite à chacun de choisir la manière dont il réagira face à l’expérience, et ce qu’il apprendra ou non. En somme s’il évoluera dans un sens ou un autre…ceci en revanche est une décision interne et propre à l’individu. Mais l’expérience est liée aux autres. C’est en cela que vos destins individuels sont mêlés et inter mêlés les uns avec les autres et que de fait votre évolution l'est également !

Accepte ces moments où tu ressens de la peur. Par moment tu ne peux rien faire d’autre que cela car aucune autre solution ne semble s’apercevoir à cet instant précis de la peur.

En acceptant ces émotions tu amorces un effet boule de neige : le lâcher prise et la libération s’amorcent et clarifient ton esprit. Cela te permet d’y voir plus clair, ainsi une solution peut émerger plus facilement. Cela est comme le brouillard qui se lève et tu t’aperçois de ce qui était présent devant tes yeux que tes peurs t’empêchaient de voir ! Tes peurs sont un brouillard à ta réception, les accepter est un premier pas pour la levée de ce brouillard. Accepte d’être dans le brouillard car par cette acceptation tu fais rayonner ta lumière.

Pour cela nomme tes peurs, à voix haute, dis-les, clame-les, tu t’apercevras qu’en les disant elles prennent corps et paraissent déjà moins effrayantes. Elles ne sont plus un sentiment diffus et obscurs. Elles sont nommées et donc elles sont prêtes à être dissiper par la lumière. C’est comme allumer la lumière lorsque tu es effrayé dans le noir. En actionnant la lumière tu t’aperçois vraiment de ce qui te faisais peur et tu t’aperçois que ce qui t’effrayait dans le noir n’est en fait que ta veste que tu avais laissée sur la chaise, et que par mauvaise vision tu as pris pour un monstre non identifié (et donc bien plus effrayant car non « connu » par ton esprit). Identifier tes peurs les rend moins forte… et tu dissipes la peur. Tu lèves le brouillard.

Dès lors le soleil est pleinement visible : tu es de nouveau connecté à la vie même et tu peux obtenir la guidance. Car lever le brouillard c’est aussi rendre visible ton guide, il peut t’atteindre et te parler plus facilement. La peur est une émotion bloquante, c’est pour cela qu’elle est à l’exacte opposé de l’amour. Elle est paralysante et handicapante pour mener ta vie et écouter ton cœur.
A chaque fois que tu ressens la peur, repense à ses mots et lève le brouillard !

Et si le but de notre évolution spirituelle était de nous connecter à l’amour inconditionnel ? De nous emmener à le ressentir en nous et à le transmettre ?

Cet amour qui ne souffre d’aucune condition, qui se ressent pleinement, qui n’attend rien qui s’offre tout simplement. Cet amour qui se ressent pour tout être vivant, sans qu’il y est de temps d’adaptation pour qu’il éclose, il s’offre immédiatement d’un cœur ouvert et pur. Ceci peu importe la personne qui le reçoit. Peu importe ses actes, son attitude, ses paroles cet amour lui ait offert.

"Arrête d’essayer de tout comprendre !

Crois-tu pouvoir le faire ? Non ce n’est pas possible, tu n’as pas de vision globale de tout, tu es limité dans l’ici et maintenant, et c’est normal tu es venu expérimenté dans la matière, dans l’ici et maintenant. Le temps tel que tu le conçois est un mythe enfermant, mais peu importe il ne t’appartient pas de changer cette réalité qui est la tienne pour le moment. Là n’est pas la véritable importance, ce qui est important est de comprendre que cela t’échappe car tu es dans une vision linéaire pour le moment. Fais nous confiance…et cesse de vouloir tout comprendre, de vouloir tout mettre dans des cases rassurantes pour ton mental. Le mental te dupe dans son désir de tout expliquer. Cela le rassure car lui a besoin de poser des mots sur les choses et d’avoir une explication pour tout. Le cœur n’a pas ce besoin. As-tu besoin de comprendre pourquoi tu aimes quelqu’un ? A quoi cela te sert-il ? L’important n’est-ce pas de vivre ce sentiment d’amour, de profiter de ce bonheur d’aimer un ami, un frère, une sœur, un amant, un enfant ? A te poser des questions sur le « pourquoi » sur le « comment » tu perds de vue l’essentiel : être dans l’amour présent. Il en est de même pour chaque chose, chaque situation et chaque émotion que tu ressens…les émotions se ressentent elles ne s’expliquent pas. Les gens que tu rencontres se ressentent ils ne s’expliquent pas. Les situations que tu vis se ressentent elles ne s’expliquent pas.

"La joie de l’instant.

En étant dans l’accueil de la joie de l’instant, en dansant, en chantant sur une musique qui te met en joie tu es dans le moment présent. Dans la joie pure et simple de cet instant. Le reste peut attendre, le monde ne se perdra pas ; je vais te dire autre chose : le monde n’a pas besoin de toi pour continuer sa course effrénée.

Et quand je dis « le monde » je parle de ce monde crée de toute pièce par l’Homme…non de la réalité du monde en soi, juste de cette création illusoire.

En revanche toi tu as besoin de ce moment de joie pour te reconnecter à toi-même et te créer un monde plus en accord avec toi et tes vibrations. Si chacun fait cela le monde cessera de courir…car chacun créera un monde plus vibrant dans l’instant. Ne doute pas de la force des vibrations que tu émets ! Si chacun de vous en prenez conscience et cessait d’alimenter la course effrénée de ce monde illusoire que vous vous êtes créé vous verrez apparaitre le véritable monde, celui de l’amour et de la joie de l’instant. Celui où chacun pourrait s’élever et avoir une vision bien plus large des choses…ce serait quitter le monde de la 3D comme vous l’appelez pour aller vers une autre dimension, quelque chose de plus juste car plus propice à l’élévation de l’humain ! Là où vous pourriez prendre la vraie dimension qui est la vôtre : celui de la divinité en vous…celui de la divinité autour de vous ! Celui de la divinité partout, en toute chose et en tout lieu, celui de la divinité reconnue, acceptée et valorisée pour tout un chacun.

Et pour accueillir ce monde-là il faut que chacun prenne conscience de l’importance de ce qu’il émet, de l’importance des intentions que vous portez dans vos pensées, vos actes et vos paroles. Que chacun en toute honnêteté envers lui-même se demande dans ce qu’il émet, dans ses intentions, que nourrit-il ?

Il ne s’agit de vous culpabiliser mais de prendre conscience de votre part de responsabilité, de prendre votre responsabilité sans toutefois poser un regard sombre dessus. Bien au contraire, reconnaitre accepter et transcender pour n’apporter que votre lumière en toute chose (y compris à vous-même).

Ne blâmer personne…car chacun de vous à sa part de responsabilité à prendre…l’important n’est pas le blâme mais l’ouverture : accepter votre dualité et la dualité d’autrui. Ne pas juger et vous ouvrir. En prenant vos responsabilités vous reprenez aussi votre pouvoir créateur, vous l’acceptez pleinement, vous cessez de subir et vous êtes dans l’action présente de construire autre chose. En prenant vos responsabilités vous cessez d’être des victimes de ce monde illusoire, vous cesser tout entretient de dépossession de votre vrai pouvoir. Vous redevenez pleinement ce que vous êtes : des êtres de lumière venu transcender le monde tel qu’il est aujourd’hui. En prenant vos responsabilités vous vous grandissez vous-même, et de ce fait vous grandissez le monde !

Soyez dans l’instant, soyez dans la joie, rien n’est immuable et vous avez le pouvoir de changer les choses ! N’en doutez pas, jamais ! On aimerait vous faire croire que vous n’y pouvez rien, que vous n’êtes ni fort ni grand mais c’est faux ! Grandissez-vous, reprenez votre force et nourrissez le monde, alimenter le d’amour et de joie pour que cela germe en toute chose et en tout être. Les graines semées seront alors récoltées, elles vous nourriront en retour et continueront votre travail dans un cercle sans fin d’amour et de joie.

Reprenez les reines : libérer votre pouvoir créateur, vous êtes tellement fort en vous-même ! Ne laissez rien ni personne vous déposséder de votre force, mais ne le faites pas dans la colère, offrez votre amour à ceux qui serait dans cette intention, car par votre amour vous pourrez véritablement changer les choses !

Soyez grand, soyez pleinement cet être fort que vous êtes en réalité. Dans l’amour transcendez tout y compris et surtout vous !!

Allez dans la paix du cœur et dans la joie de l’instant  "

J’entrevois une faible lueur dans les ténèbres.

Elle semble si floue et si frêle dans cette tempête. Elle semble si fragile…pauvre petite lueur mise à mal ; enveloppée de toute cette froide obscurité !

Elle pleure doucement, seule, elle vacille et tremble. L’air est froid, et il fait si sombre…tout n’est que souffrance l’horreur à deux pas de chez nous…

Je l’appelle doucement, je tente de la rassurer. D’abord craintive elle se rapproche un peu. Elle continue à pleurer doucement. Elle semble lutter pour sa survie dans ce chaos innommable….

-Je ne lutte pas pour ma survie, me murmure-t-elle faiblement. C’est toi qui lutte. Lorsque tu luttes tu es dans le combat, dans l’affrontement. Ne lutte pas, abandonne toute idée même de lutte.

-Il est difficile de ne pas vouloir lutter contre le chaos. Je ne peux me résoudre à abandonner cette lutte.

-Pourtant en luttant ainsi tu donnes corps au chaos. Il prend vie, alors que moi je me meurs…

-Qui es-tu ?

-Ne me reconnais-tu pas ? Je suis ton espoir…et lorsque tu luttes l’espoir diminue car il est entouré de la noirceur la plus noire qui soit.

-Que dois-je faire alors ? Ne pas lutter n’est-ce pas comme être d’accord avec ce chaos ?

-Il n’y a pas à être pour ou contre quelque chose. Il s’agit d’offrir de la lumière au monde. S’il y a de la lumière il n’y a pas d’obscurité…Il s’agit d’avoir la foi !

-Je ne peux accepter ce chaos.

-Qui te parle d’accepter ? Ne l’accepte pas ! Il est inacceptable, ceci est un fait. Dénonce-le, refuse-le ! Mais on ne combat pas le chaos extérieur ni par ni avec le chaos intérieur ! Il ne s’agit pas d’accepter l’horreur, l’accepter c’est se fermer à notre cœur. Tu as le droit d’être en colère mais ta colère se rajouterait à la colère qui se rajouterait à la colère…c’est un cercle sans fin de colère !! En ce moment des êtres de lumière apportent leur amour à votre cœur. Ils n’ont pas besoin de ta colère, elle ne fait qu’alourdir les choses, en revanche ils ont besoin de tout aide que l’on serait prêt à leur offrir ! Aide les en m’aidant moi !

J’entrevois une lueur d’espoir dans les ténèbres mais à mesure que nous parlons, la lueur vacille moins, elle semble plus tangible, l’obscurité moins dense. Est-ce mon imagination ou elle est plus vive et plus vibrante ?

-Ce n’est pas ton imagination. Lorsque tu me regardes, lorsque tu t’intéresses à moi alors tu me fais grandir. Ton cœur bat à l’unisson avec le mien et mon cœur se gorge de vie !

Sa voix même me semble plus forte, plus sure, elle me parvient plus nettement. Ce n’est plus un murmure, elle gagne en force !

-Oui. Je deviens plus forte grâce à toi !

Je vois une lumière d’espoir dans les ténèbres, elle brille et me fait chaud au cœur. Elle ne pleure plus, elle me sourit. Et tandis qu’elle se rapproche encore de moi j’entrevois une silhouette derrière, encore plongée dans le noir je n’arrive pas à distinguer ces traits mais elle me semble étrangement familière.

-Qui est-ce qui se tient derrière toi ?

- Personne. Mais quelqu’un me porte. Je ne suis qu’une lueur, sans quelqu’un pour me faire vivre et vibrer je n’existe pas.

-Alors qui te porte ?

-Ne le sais-tu pas voyons ? Ce n’est pourtant pas bien compliqué…mais soit. Ne regarde plus avec tes yeux, ils te trahissent. Ne pense plus avec ton mental, il te trahit ! Ne ressens plus avec ta peur, elle te trahit ! Vois, pense, ressens avec ton cœur. Que vois-tu ?

Je vois une vive lumière d’amour dans les ténèbres. Elle réchauffe toutes les fibres de mon âme même. Elle m’enveloppe de tout son auréole d’amour inconditionnel. Elle est lumière pure, amour pur. Elle nettoie toutes mes peurs, elle nettoie et chasse toute trace d’obscurité. La silhouette se rapproche…

…c’est moi…moi qui me sourit et qui irradie de lumière.

-Je suis toi puisque c’est toi qui me ressent, me porte et me faire grandir. Je suis ta lueur d’espoir devenu lumière pure. Plus tu me feras grandir plus tu rayonneras. Là tu peux aider les êtres de lumière et soigner le monde. Là tu es utile dans le chaos, là tu n’es pas dans la lutte mais dans l’amour. Là, est ta place. Alors brille, et apporte ta lumière aux flux de lumière qui vous ait envoyés, participe à ce rayon d’amour pur qui est lancé sur vous. Ne rajoute plus ta colère à la colère, ne rajoute pas ta peur à la peur. Prends garde à qui tu nourris, car tes émotions nourrissent la lumière ou l’obscurité. Mais elles nourrissent toujours quelque chose ! Tu as le choix, choisis l’espoir, choisis la foi, nourrit la lumière en te grandissant. L'obscurité n'est qu'une absence de lumière, là où il y a la lumière l'obscurité n'est plus...Aide les êtres de lumière en apportant de l’amour à l’amour ! Ils ont besoin de toi, de même que les personnes qui souffrent, apporte leur l’amour et la lumière, aide ces âmes perdues en lui guidant vers la Lumière, ouvre ton cœur, prie, aime et vis ! Ne cesse jamais de le faire, car dans les ténèbres vit toujours une lueur d’espoir à faire grandir avec ton cœur…Éteins ta télévision, n’écoute plus les informations, à quoi sert de voir et revoir des images horribles ? Cela ne sert qu’à te garder dans la peur et dans la colère. Le monde n’a pas besoin de colère et de peur en plus ! Le monde a besoin de lumière. De TA lumière !! Fais-moi grandir et apporte ton aide aux êtres de lumière, sois à leur coté car tu es aussi un être de lumière ! Prends ta vraie place, fais moi vivre, fais-moi vibrer au-delà de toi ! Propageons l'amour tous ensemble...propageons la Lumière infinie, ensemble rayonnons. Sois simplement l’être de lumière que tu es et met toi aux services des autres êtres de Lumière, ne sert plus l'obscurité en étant dans la peur ou la colère, sers la Lumière en rayonnant d'amour. Fais-moi vivre, fais-moi vibrer, sens-moi, ressens-moi et offre-moi au monde, avec ton aide je m’élèverais au dessus de l’obscurité pour faire vibrer le monde d'amour pur !

Nous sommes nombreux à douter de nous-même. Nous sommes aussi nombreux à nous sous-estimer, à ne pas toujours avoir suffisamment foi en nous pour reconnaitre simplement notre force intérieure et nos capacités de réussite.

Comment faire pour trouver cette estime de soi ? Pour gagner en confiance en nous ?

Ce n’est pas toujours simple, et ce n’est pas un travail rapide à engager. Cela demande du temps car il faut gommer de nombreuses années à ne pas avoir cru en nous. Le processus demande du temps et de la patience, mais il est possible !

Pour entamer ce chemin, il vaut mieux y aller pas à pas, plutôt que de viser d’emblée l’objectif final : m’aimer et me faire confiance. On commence par faire un pas dans ce sens. Car on ne peut pas tout de suite traverser le fossé qui nous sépare de notre objectif ; avant cela il faut construire planche par planche le pont pour le traverser ! C’est dans cette construction de ce pont - qui représente symboliquement notre construction de nous-même - que l’on s’apercevra que nous seulement on a traversé mais qu’en plus ce fossé n’en était pas vraiment un…et surtout on s’apercevra qu’au bout on s’est rencontré soi-même !

Un premier pas pourrait être ne cesser de se juger à chaque fois que quelque chose cloche chez nous ou dans notre vie. Regarder ses erreurs avec plus d’objectivité comme l’on regarderait les erreurs chez les autres. Car bien souvent ceux qui se sous-estiment, estiment en revanche beaucoup les autres : leurs amis, leur famille (pas tout le monde, entendons-nous bien, mais ceux qu’ils aiment). Ainsi ils sont souvent plus indulgent envers les erreurs de leurs proches. Et leurs opinions comptent énormément, de même que le regard qu’il pose sur eux. Si ce regard est bienveillant il peut les porter, mais si en revanche il est « critique » il est encore plus difficile de s’aimer soi-même puisque « l’autre » sert de miroir à ce que déjà on n’aime pas en soi, il ne fait que nous conforter dans cette mauvais image de nous-même….

Pourtant si l’on cesse de porter un jugement négatif sur soi on peut petit à petit se détacher de ces critiques. Et remettre au besoin les personnes à leur juste place. Non pas par la colère, mais simplement en prenant conscience et en posant les limites de ce que l’on accepte ou non. Les critiques constructives peuvent être bénéfiques mais les autres desservent bien plus que ce que l’on pourrait penser ! S’aimer c’est se respecter et se faire respecter par l’amour et la douceur, mais ne plus accepter que l’on nous parle mal, que l’on s’acharne à nous montrer que le mauvais de nous.
Cela commence par soi, c’est-à-dire cesser ne s’appliquer à soi ces critiques non constructives. Des erreurs tout le monde en fait, il ne s’agit pas de les banaliser et ne pas apprendre d’elles sans quoi on ne cessera de reproduire toujours les même erreurs ! Mais juste de se dire " ok je me suis trompé(e), mais ce n’est pas grave en soi car je vais réparer mes tors. Je vais faire de mon mieux pour le faire, je me le promets, car même si je me suis trompé(e), je sais au fond de moi que je suis une bonne personne. Cette erreur (ou ces erreurs) passée(s) ne change pas mon être profond, ni ce que je suis. "

En somme il s’agit de poser sur soi-même un regard bienveillant. Poser sur soi un regard différent.

Ce n’est pas toujours simple mais pour faciliter cela je vous propose une visualisation : regardez en vous le petit enfant qui sommeille. Ce petit être au fond de vous qui a été blessé par le passé qui de ce fait manque d’amour pour lui-même. Peut-être a-t-il manqué au cours de son enfance d’amour, de compliments ? Peut-être a-t-il souffert auprès d’autres enfants de moqueries ? Sans doute, même surement, qu’il a manqué un peu – ou beaucoup - de lumière, de bienveillance, d’amour pur pour pouvoir grandir en s’aimant pleinement. Cet enfant observez-le. Mais pas comme si vous vous regardiez vous-même, puisque pour le moment votre regard manque d’amour vis-à-vis de vous. Alors regardez-le comme si vous regardiez un enfant inconnu. Un enfant recroquevillé sur lui qui se sent coupable de trop de chose ! Pourtant un enfant est-il coupable ? Un enfant est par essence innocent, s’il se sent coupable de ne pas être aimé ce n’est pas sa faute, c’est qu’autour on l’a mal aimé, mal compris sans doute ! Dites-lui quelque chose pour le faire sourire, pour lui rendre le sourire. Si cet enfant a fait une « bêtise » et se sent tellement coupable de l’avoir fait, qu’allez-vous lui dire pour le faire se sentir mieux ? C’est le moment de prendre un cahier et d’écrire quelque chose pour cet enfant, pour l’aider à se valoriser, à se sentir mieux, à se sentir aimé…

Dorlotez cet enfant, offrez-lui tout ce que votre cœur aspire : de l’amour, de l’amour, de l’amour. Une fois fait, offrez-lui en encore plus ! Serrez le contre vous, chantez lui une douce mélodie, montrez lui combien la vie peut être belle…montrez lui à quel point, lui, il est beau ! Qu’il mérite tout cet amour, qu’il mérite tout ce bonheur, montrez lui qu’il a droit à tout cela sans limite aucune !

C’est parti pour construire le pont à la rencontre de vous-même, armez-vous de patience et de gentillesse, vous êtes capable de le construire, si vous ne croyez pas encore suffisamment en vous pour le penser alors appuyez-vous un temps sur moi car moi je crois en vous ! Oui, oui je crois en toi, en ce que tu as au fond de toi, à ta force, à ta générosité, à ta puissance, à ta grandeur d’âme, en tes capacités de réussite que je sais nombreuses ! Si tu ne t’aimes pas encore assez pour y croire, puisse dans mon amour pour toi et sers-toi s’en pour te grandir, fort de lui. Tu vas y arriver, je ne doute pas de toi, j’ai confiance en toi <3 <3 <3

Ne pas te précipiter mais te laisser le temps.

Méditer, t’apaiser, promener dans la nature, avoir un contact avec l’eau et la nature.

T’accorder ce souffle de vie et de quiétude.

T’accorder cet instant d’éternité sans te poser de question, sans culpabiliser, sans te juger.

T’accorder ce moment de reconnexion à toi.

T’accorder cet instant de lumière bienfaisante.

Te donner - t’offrir- ce moment comme tu offrirais un cadeau à un ami.

Laisse un instant le monde tel qu’il est pour te concentrer sur tes propres énergies ; sur ce que tu as au fond de toi.
Lâche tout contrôle et juste laisse glisser le moment dans un abandon total à ce qui palpite au fond de toi.

Te retrouver toi-même au fil de l’eau. Ce fil qui nous rattache tous à la vie elle-même : un retour à la nature, un retour à tes origines. Un retour dans l’utérus de la terre, relié par le cordon ombilical de la vie, de l’espoir, de la conscience. Te retrouver pour pouvoir renaitre à toi-même. Pour être à nouveau ce bébé dans le ventre de sa mère. Pour être de nouveau ce bébé dans les bras de son père. Pour être pleinement connecté à toi, au monde, à la vie.

T’abandonner à ce moment de pause où on laisse la vie palpiter simplement. Te rapprocher de la connexion totale, te rapprocher de ton être véritable, de ton vrai toi, nu et tout « neuf » comme l’enfant qui vient de naître. Nu dans le sens d’être toi, sans fard, simplement être toi : tel que tu es vraiment, sans rien cacher de toi puisque tu n'as rien à cacher sous des carapaces inutiles ! Nu ; mais fort car pleinement conscient de ce qui nous relit tous, pleinement conscient de cette vie qui palpite en toi et qui vibre à l’unisson de tout ce qui vit dans l’univers. Pleinement conscient de ce fil entre tous qui ruisselle telle un cours d’eau illimité et tellement vivant et vibrant ! Te sentir vivre et t’accorder ce moment par l’abandon de toute lutte…juste t’abandonner à l’instant et profiter de ce moment de pause en prenant du temps pour toi pour mieux ensuite revenir.

Ne te demande pas quel chemin prendre, puisque tu l’as déjà pris. Tu es sur ton chemin car tu es le chemin !

Ne t’inquiète plus mais ouvre-toi à la vie, simplement en te laissant aller.

Rien d’autre ne t’ait demandé que de vivre. Rien d’autre ne t’ait demandé que de vivre heureux, de sourire et de rire !

Prends le temps de vivre…simplement, totalement.

Reconnecte-toi à la terre au travers de la nature et de l’eau. Sois dans le moment unique et éternel de l’instant. Promène-toi, hume l’air, sens –ressens – la terre sous tes pieds nus. Vois la vie autour de toi, toute cette vie dans la nature : le vent, les insectes, les animaux, le soleil, la pluie…tout est vie, tout vit ! Toi aussi alors vis plus simplement sans te poser de question, sans t’inquiéter pour demain.

Vis plus librement, vis pour toi. Ne sois plus dans ton mental qui s’inquiète, qui doute.

Vis plus connecté à toi-même et au monde.

Vis en sentant ce flux en toi.

Vis en respirant à plein poumon.

Vis en te servant pleinement de tous tes sens y compris celui qui te permet de ressentir, de voir, de gouter, de toucher, d’écouter, de sentir l’invisible que ton mental t’empêche de saisir pleinement.

Détruis cette barrière mentale en vibrant de tout ton être, en étant pleinement toi, simplement et formidablement toi.

Pour cela, commence par prendre le temps…le temps d’une pause. Cette pause qui se trouve entre deux battements de cœur, entre deux respirations. Cet instant où tout est calme. Cette microseconde ou le temps lui-même semble s’arrêter, cet instant ou tout commence, ou tout recommence.
Accordez-toi ce temps de pause, simplement, totalement et vis...

[♥ Merci Céline pour l'inspiration ♥]

le 30/09/2015

Comment faire face à des événements difficiles ?

L’année 2015 est riche en événement : beaucoup de disparitions d’être chers…De près ou de loin les départs sont nombreux depuis le début de cette année ! Et beaucoup sont également dans des énergies de changements. Oui nul doute que cette année 2015 est riche en événements et en changement ! C’est pourquoi ce n’est pas toujours simple de faire face à ce que l’on vit. Beaucoup de ces événements que nous vivons sont écrits : le moment du changement est venu pour les enfants de la terre. Tout s’accélère à tel point que l’on peut avoir un peu de mal à suivre…émotionnellement c’est fort, très fort !

Dans le tarot la carte qui porte le nombre 15 c’est le Diable. Cette lame est souvent redoutée mais comme toutes les lames du tarot elle porte en elle le bon comme le moins bon ! Le tarot est à l’image de la vie, et il est à notre image : il est dualité, porteur de la Lumière et de son ombre…La carte 15, le Diable, si elle pouvait parler nous dirait de nous accrocher, de faire confiance en notre instinct. Le Diable nous parlerait de notre force, de nos capacités à créer le beau mais aussi le laid…il nous dirait de lâcher prise sur notre mental et notre égo, de prendre pleinement possession de notre vrai pouvoir ! Mais il serait sans concession : soit tu fais face aux événements, tu fais confiance en ton instinct, tu choisis la voie de la lumière plutôt que l’ombre, et là tu grandis, ta force grandie ! Soit tu te laisses submerger par la peur et les émotions négatives et tu tombes….Dans tous les cas tu dois choisir…et de ton choix cette carte sera soit très belle soit très moche…Le diable n’est pas là pour nous ménager ! Il ne fait pas dans la dentelle, pas son genre, lui il est « cash »…très bon représentant de l’état « d’être » opposer à celui « d’avoir » ou de se laisser dévorer par nos émotions ou ce que l’on vit ! Il nous donne le choix d’être maitre de nous-même, de nous abandonner à cette force en nous, brute et primaire, cette force d’énergie créatrice, cette force d’énergie vitale….ou le choix d’être esclaves de nos vies, de ce que l’on vit, ce que l’on ressent…le choix nous revient mais il se présentera à nous sans concession, brut de décoffrage…La terre a besoin de cette énergie forte pour nous aider dans notre réveil, dans notre changement ! Le réveil a sonné, le 15, le Diable est là et il secoue le prunier…c’est le moment de s’accrocher à nos branches ou d’oser faire le grand saut ! Même si l’on n’a pas choisi que notre prunier soit secoué il nous appartient de choisir ce que l’on va faire quand cela arrivera…

Pour symboliser cela prenons la métaphore du train. Nous sommes dans ce train, voyageur de notre vie…le train c’est notre vie qui roule sur ses rails (sur notre ligne de vie). Nous voyageons  à l’intérieur paisiblement installés sur un fauteuil ou très mal assis sur un strapontin...voir debout pour certains…nous regardons défiler le paysage sans nous  poser de question sur le conducteur qui conduit notre train, ni même sur notre destination. Nous nous contentons de regarder par la fenêtre !

Jusqu’à ce qu’un événement vienne bouleverser notre voyage (notre vie)! Un déraillement, un arrêt du moteur soudain, une explosion violente, un rail cassé qui oblige notre train à sortir de ses  rails et à arrêter sa course irréfléchie. Cet événement n’est pas de notre fait, certains l’appellent hasard et d’autres destinée… Cet événement nous oblige à revoir notre traversée de la vie, pas le choix, il faut faire face et choisir ce que nous allons faire à partir de là ! A ce moment-là se dresse plusieurs possibilités pour nous, c’est le fameux libre arbitre ! Un événement difficile vient à nous, c’est imposé, c’est un « fait » et nous, nous pouvons choisir notre réaction, notre attitude face à lui ! De nos choix, dépendra la suite du voyage…si on choisit bien une nouvelle aventure est possible si on ne choisit pas, si l’on reste bloqué dans nos anciens schémas, attendons-nous à vivre encore et encore des ennuis de moteur…jusqu’à ce qu’on se réveille enfin…

Par exemple devant cet  incident technique on peut choisir de descendre du train et d’aller jusqu’au moteur, déjà il faut le trouver, à l’avant, à l’arrière ? Au milieu ?? Et là fleurisse les questions : mais où est le conducteur ? Ce train ne se conduisait pas tout seul si ?? Et comment marche-t-il ? Quelle est cette énergie qui le fait rouler ? Et surtout ou m’emmène-t-il ? Qui m’a mis dans ce train ? Je ne m’en souviens pas…je me suis toujours vu ici, je n’ai aucun souvenir d’être monté à bord ….Et pourquoi donc ne m’étais-je jamais posé toutes ces questions avant ????  A partir de là je peux décider de prendre les choses en main : je relève les manches, je mets les mains dans le cambouis ! Je vais tenter de comprendre comment il fonctionne et de le redémarrer. Ho c’est un long travail qui m’attend, moi qui n’y connais rien en train…il me faudra comprendre, me tromper surement entre tous ces câbles, ces fils, ces pièces inconnus qui pullulent dans le moteur…mais je finirais par comprendre ! Je finirais par faire repartir la machine grâce à ma volonté et à mon travail qui emmènera une compréhension des choses ! Désormais rien ne sera pareil : je ne serais plus assis à l’arrière, non, je me place à l’avant du train ! J’en suis désormais le conducteur, le voyageur, le mécano, le contrôleur et le flâneur ! Oui je suis désormais tout à la fois, seul maitre à bord, maitre de ma vie et de ma destinée.

Je peux aussi choisir une autre voie : je peux marcher jusqu’à trouver une gare et là chercher de l’aide. Je peux tomber « par hasard » sur quelqu’un qui pourra m’apprendre comment le train fonctionne et qui me donnera les clés pour le réparer moi-même. De cette longue formation je pourrais repartir, réparer et conduire le train de ma vie.

Je peux aussi trouver de l’aide : quelqu’un qui va venir avec moi et qui m’aidera à réparer le moteur. Et peut être même que cette personne montera dans mon train et qui nous chemineront ensemble…

Mais je peux aussi choisir de laisser mon train sur place et d’explorer le monde (ma vie) à pieds juste avec un sac sur le dos ! Et là peuvent s’ouvrir à moi des merveilles insoupçonnées : des rencontres, des senteurs, des expériences que je n’aurai pu vivre dans mon train…je vais par exemple pourvoir sentir le vent sur ma peau, pouvoir gouter l’eau de la rivière sur mon corps, pouvoir contempler les fleurs, les oiseaux, les papillons…Cela peut faire peur de quitter « la sécurité » du train mais je peux aimer cet élan de liberté de nouveau !Cette nouvelle façon de voyager au rythme de la nature et de la vie…

Je peux aussi choisir d’aller dans la prochaine gare et trouver un travail pour me permettre d’obtenir un nouveau train car je ne veux plus désormais de l’ancien…

Ou encore je peux choisir de rester assis près de mon train en rade et d’attendre…espérer que passe un autre train, espérer que quelqu’un passe…ou espérer que le train redémarre seul, comme par miracle ! Un miracle est toujours possible mais l’attente peut être longue et interminable…

Je peux aussi choisir de faire un peu tout ça histoire de tout expérimenter afin de mieux choisir ma route ! Explorer le panel de possibilité qui s’offre à moi pour faire un choix en toute connaissance (conscience).

Plusieurs possibilité s’offrent à moi et il m’appartient de choisir si je veux être le conducteur de ma vie ou si je me laisse conduire…

Je peux aussi maintenant que je connais mieux les mécanismes du train et leur fonctionnement, m’arrêter de gare en gare pour expliquer à d’autres comment faire face à des ennuis de moteur. En somme expliquer les clés pour reprendre la direction des choses !

Rien ne dit que ce sera facile et je passerais sans doute par des heures bien sombres, des moments de doutes, de lassitude de peurs mais aussi des moments de joies et d’amour purs…

Cet événement difficile que nous vivons est bien entendu très dur, surtout au début, mais il peut être un bon moyen pour comprendre énormément de chose, et surtout il vient bouleverser un cheminent, il vient remettre en questions notre vie, nos choix…et nous pousse dans nos retranchements pour pouvoir en faire d’autres ! Il nous permet d’être qui nous voulons être en ouvrant notre conscience (si nous en faisons le choix).

Maintenant comment faire face à ces événements qui peuvent nous détruire, ou détruire une partie de nous ? Il est bien évident que parfois c’est une vraie explosion qui peut toucher le moteur, faire s’enflammer le train et nous blesser tant physiquement qu’émotionnellement ! Blessés, éprouvés, parfois même en colère contre ce coup du destin, fatigués, nous avons énormément de mal à repartir, à trouver en nous le courage, la force, l’énergie…

Il n’y a pas de secret, le premier pas est de réaliser tout d’abord puis accepter pour enfin transcender l’expérience douloureuse pour en faire autre chose. Il n’y a pas de règle, pas de loi qui régisse cela. Cela  ne se fait certes pas en un jour, nous avons besoin de temps, souvent même de beaucoup de temps ! Chacun doit suivre son cœur dans le calme et le silence de ce cheminement personnel. Peu importe la durée, le temps mis pour accepter et transcender. Il n’y a pas d’urgence, et là toute première chose à faire c’est d’accepter de se laisser du temps ! Sans se juger, sans se condamner, être doux avec soi-même, accepter nos errances, nos douleurs, nos peurs, nos erreurs…s’accepter pleinement dans nos forces et nos faiblesses. Et quand l’heure est venue pour nous, à la suite d’un long chemin, renaitre à nous-même, fort du chemin parcouru, fort pour la suite du voyage !

Il y aura un avant et un après. Nous serons à la fois différent et à la fois toujours nous-même. Plus nous-même sans doute !  Un changement intérieur s’est opéré, rien ne sera plus jamais pareil…car nos yeux se sont ouverts, et ils ne verront plus de la même façon ! Impossible de revenir en arrière, ce qui a été n’est plus place à ce qui « est » ! Nos yeux verront des choses cachées jusqu’alors…mais là encore à nous de choisir ou se porte notre regard : choisirons-nous de contempler le beau ou de voir la laideur ? Trouverons-nous un équilibre en observant les deux sans se laisser happer par la laideur ? Choisirons-nous de transmettre notre lumière intérieure pour que le beau l’emporte sur la laideur ? Ce choix nous appartient…tout comme celui d’agir, de reprendre en main notre vie ou de subir l’événement encore et encore…

Il n’y a pas de bons ou de mauvais choix, chacun doit trouver sa vérité intérieure et trouver sa voie. Comprendre, s’éveiller, se réveiller, reprendre en main sa vérité profonde, se relié à la conscience…le temps fera son œuvre et soyez sur que la vie mettra sur notre route des événements pouvant nous aider à prendre conscience des choses ! Parfois violents, parfois répétitifs, ils sont là non pas pour nous punir, mais pour nous permettre d’apprendre et de grandir… car est venu le temps du changement pour nous !! Et reconnaissons que la Terre en a bien besoin...

<3 <3 <3

Qui suis-je ?

Je suis une poussière d’étoiles dans une constellation immense, petite chose insignifiante aux yeux de la multitude de l’Univers, tellement immense et infini qu’il nous ait impossible de le mesurer pleinement….

Ecoute ce que tu ressens au plus profond de toi, dans ton cœur. Tu ne te trompes pas si tu écoutes cette petite voix en toi qui résonne en mille lumières colorées, propageant une musique merveilleuse en toi.

Peu importe que tu sois seul à ressentir cette musique et à voir ses couleurs en toi. Peu importe que nul autre que toi ne comprenne cet hymne en toi. Peu importe si le monde te traite de fou, toi qui te laisse bercer par cette mélodie. Peu importe si même tes amis les plus proches ne comprennent pas ces notes de musique que tu joues.

La seule chose qui compte c’est d’entendre cette douce mélodie, de l’accompagner par ta voix, par ta danse, par tes sourires ou par tes larmes. Tu ne peux pas te tromper en jouant ton air. Tu ne peux pas jouer une mélodie fausse si elle vient du plus profond de toi-même !

Peu importe que ta musique ait des paroles ou des silences, tu en es l’artiste, le compositeur et l’interprète. Tu es le chef d’orchestre et toi seul sait quand il convient de mettre des mots dessus, de rester silencieux à écouter simplement la musique sans rien ajouter…ne laisse personne diriger à ta place cette symphonie car toi seul sait jouer l’accord parfait qui est juste et qui sonne juste en ton cœur.

Laisse s’exprimer ce que tu ressens au plus profond de toi, dans ce lieu où tu es tout, dans ce lieu à nul autre pareil, laisse éclater l’artiste de la vie en toi, car chacun de nous est un artiste capable de composer sa propre mélodie grandiose et lumineuse ! N’oublie jamais que toi seul sait quelle note jouer et à quel moment la jouer ! Tu es bien plus doué que ce que tu penses et en toi se cache le plus merveilleux des musiciens ! Ne laisse personne te dire que tu n’es pas capable de jouer ta musique, que tu ne sais pas lire la partition ! Tu sais la lire puisque tu l’écris toi-même, puisque tu es à la fois la partition et l’artiste qui la joue ! Sois libre de laisser s’envoler tes notes de musique, parfaites et justes car ici et maintenant elles sont toi et elles sont à leur juste place, à leur juste note. Jamais tu ne feras de fausse note si tu suis ce que ton cœur te chante, jamais !

Laisse se taire la voix du mental et de ses interrogations, ses doutes, ses peurs, ses blocages qui forment un carcan, qui t’emprisonne dans une vision réductrice de toi-même et du monde qui t’entoure.

Laisse toi entendre la partie divine, cet espace en toi où l’infiniment grand rejoint l’infiniment petit.

Alors tout s’ouvre, tout se met en place. La compréhension simple est à ta portée, le bonheur également.

Tout est là, en toi, niché dans la chaleur de ton cœur bienveillant.

Ecoute-moi et laisse-moi te bercer de mes paroles, écoute-toi et laisse-toi te bercer de tes paroles. Car toi et moi ne sommes qu’un.

Dans cet espace infini en toi tout se rejoint, tout se crée, tout se transforme…cette porte en toi est la voie de l’éveil spirituel. Car l’éveil spirituel n’est rien d’autre qu’une reconnexion à soi-même et par extension une reconnexion avec le tout placé en toi.

A cet instant où tu comprends que tout est lié, que Dieu est à la fois en toi mais aussi que Dieu c’est toi (et qu’il en est ainsi pour toute vie) alors tu es dans la vérité de ton cœur et le monde autour de toi se transforme car le regard que tu poses sur lui est différent !

Nulle vérité n’est plus importante que celle-ci…car quel est le plus important si ce n’est toi ? Puisque tu portes en toi le tout…tu es ce petit rien fait de tout ; tu es ce grand tout fait de rien ! En vérité je te le dis tu es le(a) plus important(e) car tu es à la fois une partie et aussi la totalité du tout.

Prends conscience de cette force créatrice qui est à ta portée…tu peux tout faire, tu peux tout voir, tu peux créer !

Fais sortir la divinité qui est en toi et répand ta conscience vers l’infini… autrement dit vers toi…puise dans cette force divine, nichée en toi, pour créer ta vie et répandre l’amour universel autour de toi !

Oui, en vérité je te le dis tu es un être divin… explore cette divinité et étends la hors de toi pour faire éclater et briller la lumière de Dieu, qui est en réalité TA propre lumière !

Ami, laisse le temps au temps, il n’a pas d’importance, seul compte le moment présent, cet instant d’éternité et d’infini si précieux, si unique si grand et si court à l’instant.

Ce seul moment où tout est possible ou tout est réalisable.

Ne pense plus à hier  qui n’est plus là. Ne pense pas à demain qui n’est pas ; qui n’existe pas. Le temps n’est qu’un leurre humain, c’est une donnée sans valeur en réalité, qui n’a de valeur que dans votre conception humaine.

Libère toi de ce carcan étouffant, libère toi de cette vision réductrice, demain, hier aujourd’hui, tout est lié, tout est là à l’instant. Tout se superpose, tout cohabite dans l’ici et maintenant.

Prends conscience de l’infinie création présente dans cet instant. Ce moment qui vole tel un papillon dans le firmament, cet instant d’éternité.

Tout est là.

Ne cherche pas à capturer l’instant, il est insaisissable, il est libre, il est seulement à vivre pleinement et totalement. Si tu refermes ta main sur lui tu t’apercevras qu’elle est vide…et pourtant pleine de promesse de ce nouvel instant naissant qui s’ouvre à toi !

Vois-tu l’immense possibilité de cet instant ? Ressens-tu sa saveur exceptionnelle, son éclat magnifique ?

Quel grandiose moment s’offre à toi en cet instant, un petit bout d’éternité et d’infini qui se répète et fleurit d’une fleur nouvelle à chaque seconde égrainée ! Quelle merveille, quelle possibilité…c’est une chance, une chance exceptionnelle de créer à nouveau ta vie, de créer de la magie…soit le magicien, soit le créateur de ta vie à chaque instant en vivant pleinement cet instant présent…soit le papillon qui vole au firmament, sois toi-même cet instant présent. Sois cet instant d’éternité ! Soit à la fois ton passé, ton futur et ton présent, tout est là dans ce parfait moment d’éternité ou tout se mêle et se démêle…cet instant éternel d’éternité !

Qu’est-ce qu’un guide spirituel pour toi ?

Avant de te laisser exprimer ton opinion sur ce sujet, permets-moi de t’exposer la mienne. Sache tout d’abord que je ne prétends nullement détenir la vérité suprême. Ceci n’est que ma vérité, celle que mon cœur me souffle ici et maintenant. Peut-être ton cœur sera-t-il en accord avec mes paroles peut-être que non, cela n’est pas important dans la mesure ou l’important à mes yeux est d’écouter notre cœur, qu’il soit ou non en harmonie avec le cœur de nos amis. L’essentiel étant d’accepter la vérité de l’autre (tant que celle-ci ne fait pas de mal à autrui). Laissons s’exprimer nos cœurs paisiblement en écoutant dans la bienveillance les battements de cœur d’autrui même si ceux-ci ne battent pas toujours à l’unisson du notre. Ecoutons-nous sans jugement hâtif car la vérité possède mille et un visages et je te propose juste de voir quel trait possède la mienne…

Les guides spirituels sont à mes yeux, des âmes désincarnées au service de la Lumière (ou de la source) qui ont choisi de nous accompagner dans notre incarnation présente.  

Ce sont des âmes que l’on connait d’un ailleurs qui restent souvent flous à nos yeux d’humains mais qui trouve un écho certain pour notre âme. Un écho d’amour magnifique et sincère, un écho de partage et d’échange dans la beauté du cœur et de l’âme unis. Ces âmes-guides ne sont en rien différent d’un point de vue « essence » de l’âme de notre arrière grande tante décédée dont l’âme est partie rejoindre la source…Simplement ils ont suivis un autre chemin, ils ont appris, ils ont grandi au sein de la Lumière et ils sont aujourd’hui à même de transmettre un enseignement, d’apporter une guidance lumineuse et remplie d’amour. Ils ne sont à mes yeux en rien supérieur ou meilleur que l’âme de notre arrière grande tante, ils ont juste suivis une autre voie. Ce n’est ni « mieux » ni plus « supérieur ». Cela « est » tout simplement. Certains d’entre eux ont pu s'incarner sur Terre aussi, d'autres ailleurs ; ils ont également expérimenté la matière comme nous. Et comme nous ils ont appris, ils ont expérimenté, grandi, muri... ce sont des âmes qui sont retournés à la source, et qui ont choisi de rester près de nous pour nous aider après de nombreuses incarnations d'apprentissages sur Terre ou ailleurs mais aussi après avoir appris, grandi, muri de l'autre côté, dans cet autre monde que nous appelons communément l'au-delà. Ils ne sont pas devenus "guide" par un claquement de doigt, cela s'est fait en apprenant. Pour certains cela a pu être rapide, pour d'autres surement plus lent...au final ils ne sont pas différents de nous : ce sont des âmes évoluées ; ni plus ni moins que des âmes comme nous...qui ont suivi leur chemin pour en arriver là où ils sont !

Pour transposer tout cela dans notre réalité terrestre c’est comme si tu allais consulter un thérapeute énergétique. Cette personne parce qu’elle possède un certain savoir t’est-elle supérieure ? Est-elle meilleure que toi ? Non. Elle est comme toi une âme incarnée sur terre qui suit tout comme toi son propre chemin, sa propre évolution. D’un point de vue « essence » vous êtes les mêmes : deux âmes incarnées venues expérimenter la matière. Simplement le chemin de ce thérapeute lui a permis d’apprendre et de pouvoir transmettre son apprentissage à autrui. Cela ne fait pas de lui un être supérieur à toi, il « est » comme toi tu « es ». Et ce qu’il y a de merveilleusement beau c’est que ce jour tu vas apprendre et bénéficier des pratiques de ce thérapeute mais demain tu pourras lui apprendre à ton tour dans un domaine que toi tu connais bien et dans lequel tu t’exprimes durant cette incarnation. Nous sommes à la fois maitre et élève, nous pouvons apprendre à autrui et apprendre d’autrui ! C’est juste un petit changement de rôle incarné et symbolisé ici par de toutes petites lettres : apprendre D’autrui, apprendre  A autrui…

Pour en revenir à notre sujet, les guides spirituels sont donc des âmes désincarnées qui ont choisi d’accompagner nos âmes incarnées. Leur rôle est de nous aider à comprendre notre réelle puissance créatrice. Ils peuvent également nous protéger avec l’accord tacite de notre âme. Ils ne sont pas là pour agir à notre place, ils ne s’imposent pas à nous, ils « sont ». Si nous choisissons de suivre une voie plus obscure ils ne nous abandonnent pas, ils se mettent en retrait et nous laissent expérimenter nos choix. Si nous les appelons ils seront là, remplis de bienveillance et d’amour. Ils ne sont pas dans la dualité, ils en sont au-delà. Ils sont amour et nous pardonne aisément nos errances, et même plus que ça : pour eux ils n’y a rien à pardonner…il n’y a que l’acceptation de notre être dans sa beauté comme dans sa part plus sombre. Ceci dit si nous faisons « des bêtises » et que nous leur demandons conseils ils diront les choses « sans fard ». Ils diront les choses sans colère aucune mais ils ne cherchent pas à flatter notre égo par de belles illusions poétiques. Leurs mots, leurs paroles sont belles (parce que justes et emplies d’amour) mais elles sont par moment difficile à entendre ! Cela ne remet pas en cause leur amour qui est inconditionnel, universel et absolu.

Rien ne s’impose à nous, nous avons toujours le choix. Et leur but et de nous aider à grandir et le meilleur moyen de le faire est de nous laisser libre de nos expérimentations (qu‘elles soient positives ou négatives). Nous pouvons être des élèves sages, studieux et obéissants ou être le cancre du fond de la classe qui n’écoute pas et préfère s’amuser plutôt que de travailler. Cela n’a pas d’importance dans le sens ou leur amour est au-delà de cela, ils ne nous aiment pas pour ce que nous faisons mais pour ce que nous sommes.

Les guides sont tous différents à l’instar de nous, humains incarnés. Ils ont leur personnalité, leur sensibilité, leurs spécificités aussi. Ce n’est pas tant nous qui les choisissons que eux qui nous choisissent. Selon notre propre personnalité, selon notre sensibilité, selon nos aspirations nous serons accompagnés par un guide ou un autre. Ils peuvent avoir une énergie féminine ou masculine. Et selon notre évolution nous pouvons changer de guide afin que ce dernier soit plus en adéquation avec nous ! Nous pouvons aussi en avoir plusieurs si le moment est particulier ou si la période nécessite plus d’aide et de conseils. Certains guides sont très drôles, aiment rire et même faire des blagues ! D’autres sont plus doux, avec une certaine réserve. D’autres encore ont une énergie impressionnante  parce que leur présence est « forte » et presque palpable. Chacun à son énergie, chacun est à la fois semblable et différent comme tout âme qu’elle qu’elle soit ! Ils se manifestent à nous (se montre à nous) selon leur souhait (ou le nôtre…). Chacun de nous a le guide qui lui faut au moment où il le faut. Celui ou celle qui vibre avec notre âme et notre cœur. Celui ou celle qui est le ou la plus  à même de nous guider.

Ceci étant dit je pense aussi que nous sommes à même de faire de bon choix sans eux, de puiser dans notre partie divine pour nous aider nous-même et aider autrui. Nous possédons en nous de nombreuses ressources. Ils ne sont pas là parce que nous ne sommes pas à même de nous guider nous-même, ils sont là pour nous aider à le faire, pour nous aider à comprendre qui nous sommes réellement (parce qu’il est vrai que l’incarnation peut nous faire perdre nos aspirations divines et surtout notre clarté d’esprit). Loin de nous infantiliser ils nous aident à comprendre, à grandir, à puiser en nous-même la force et la lumière. Ils sont une aide bienveillante et bienvenue à mes yeux. Ils sont nos alliés ; ils sont nos amis, toujours là, toujours aimant...j'aime me reposer dans leur bras et sentir leur amour si merveilleux ! Ce dont je suis sure, ou plutôt ce que me dit mon cœur c’est qu’ils sont amour, bienveillance et douceur. Et qu’ils sont près de nous à chaque instant.

Voilà ce que me dit mon cœur sur ce que sont les guides spirituels et je te rappelle que cela n’est que ma vision des choses et qu’en aucun cas je ne souhaite te l’imposer, je souhaite juste la partage sans prétendre dire la vérité universelle, encore une fois c’est ma vérité ici et maintenant, tu as le droit de ne pas être d’accord (encore heureux ;) ) je te demande juste de respecter ma vision tout comme je respecterais la tienne.

Et toi que te dit ton cœur, qui sont les guides spirituels pour toi ?

Le pardon.

Ouvre ton cœur au pardon.

Non pas pour absoudre le mal que l’on t’a fait car le chemin de la pénitence appartient à celui qui a fait du mal à autrui. C’est un chemin que lui (elle) seul(e) peut choisir de prendre. Cela est son travail personnel et c’est à lui (elle) de vivre avec le mal qu’il (elle) a fait. Et le jour viendra où cette personne sera mise face à ses responsabilités et au mal commis. Mais cela ne te concerne en rien, cela ne t’appartiens pas. Surtout garde toi de vouloir du mal aux personnes qui t’ont fait souffrir ! Seul l’amour est porteur d’espoir et de joie alors que la colère et la haine distillent un poison dans ton cœur…garde-toi de cette noirceur qui est une souffrance également ! Il serait dommage de rajouter de la souffrance sur la souffrance, n’est-ce pas ?

Prends conscience que la colère de la rancœur te font énormément de mal…cela t’empêche d’être dans le bonheur et dans l’instant présent. Cela te freine dans ton avancée. Cela te dévore de l’intérieur et finira par te détruire si tu ne laisses pas s’échapper cette noirceur.

Le problème n’est pas tant de savoir si les personnes qui t’ont fait du mal mérite ton pardon que de savoir si toi tu mérites la paix intérieure…

Ton devoir envers toi-même est de pardonner car c’est cela qui te mènera à cette paix intérieure.

Pardonne pour te permettre de trouver la paix du cœur.

Pardonner c’est dire « stop » au mal, c’est abandonner la souffrance en soi. C’est dire « je ne veux plus souffrir pour cela. » C’est refuser de laisser le mal poursuivre son chemin en soi-même.

Pardonner c’est se libérer et s’autoriser à la paix. Pardonner c’est choisir d’ouvrir son cœur, c’est accepter le mal fait pour mieux le laisser s’échapper hors de soi. Pardonner c’est s’autoriser à vivre dans la joie et dans la délivrance du mal.

La force du pardon est dure à acquérir mais une fois présente en toi elle te transformera et te grandira. Celui qui pardonne et ouvre son cœur à l’amour est un être sage, fort, humble et paisible.

Si tu as pardonné, je t’envoie toute ma reconnaissance car tu es un être sensible et beau !

Si tu es encore sur le chemin du pardon, je t’envoie du courage et de l’amour car je sais combien cela peut être difficile. Garde espoir car je sais que tu y arriveras et je te souhaite de trouver la voie de la paix, la voie du pardon. Car elle seule te libérera et t’ouvrira la voie de l’amour. Tu seras étonné un beau matin ne te réveiller le cœur plus léger dans le pardon, tu ressentiras une paix extraordinaire à la place du vide béant et à vif de la colère. Le mal sera sortie de toi et tu renaitras à la vie…offre toi le cadeau du pardon, non pas pour celui qui t’a fait souffrir, mais pour toi-même. Tout simplement  parce que tu mérites de trouver la paix…et que celle-ci passe par l’ouverture du cœur !

La générosité…donner sans attendre de retour....

Un acte banal devenu extraordinaire pour pas mal de monde dans la société d'aujourd’hui. Donner, être bon, offrir avec son cœur, comme ça pour le plaisir de faire plaisir…c’est presque être fou !

Bienvenue dans une société de consommation ou tout se monnaye ;)  ou tout attend compensation, retour ou argent. Ou l’être humain apprend à avoir et à recevoir plus qu’à offrir et à donner. Bienvenue dans la matrice ! ;)

On nous apprend très tôt « à vouloir », on fait naître en nous un désir, un besoin artificiel et faux. On nous apprend que donner c’est bien mais que ça ne fait pas vivre, et qu’il faut bien vivre et vivre c’est quoi ??? C’est consommer…et quand je dis consommer c’est autant dans le fait d’acheter des choses au supermarché du coin que de consommer de la sous culture qui nous rabaisse et nous enferme dans notre propre solitude et pire qui nous enferme dans notre propre ignorance !

On nous apprend qu’être bon et généreux envers son prochain c’est être naïf, être une espèce de hippie sans ambition.

Et qu’est-ce qu’on fait avec ça ?

On l’oublie ! On se révolte (pacifiquement), on jette à la poubelle cette pensée aberrante qui n’est pas nous, qui ne nous rend pas heureux et qui nous exploite !

Franchement tu l’aimes la société dans laquelle tu évolues ? Tu aimes cette souffrance, ce déséquilibre ? Inutile d’attendre le sauveur, car le sauveur c’est TOI, c’est MOI c’est NOUS.

Lève-toi, montre toi tel que tu es à l’intérieur, tu ne me feras pas croire que tu es  « ça » : ce consommateur idiot, sans information et qui ne souhaite pas s’informer. Ce consommateur égoïste qui ne pense pas à la totalité du monde, qui ne pense pas à ceux qui meurt de faim, qui ne pense pas à ces milliards d’animaux innocents, conscients et aimants que l’on massacre tous les jours pour le plaisir des estomacs, pour le plaisir de voir des spectacles, pour le plaisir de porter leur peau…Tu n'es pas non plus ce consommateur idiot qui achètent sans raison réelle, qui oublient ses frères qui triment pour fabriquer nos jouets modernes, tu n'es pas non plus cet homme, cette femme sans cœur qui passe devant ses frères démunis dans la rue sans les accorder un regard, tu n'es pas non plus cette personne qui regarde sans réagir "les grands de ce monde" détruire la vie dans des pays loin de nos frontières, qui pillent et détruisent la vie humaine, la vie animale, la vie végétale au nom du profit ! Non tu n’es pas ça ! Et moi non plus ! On est tellement plus, nous sommes  lumière. Nous sommes généreux, nous aspirons à l’être tant pour nous même que pour nos frères et sœurs (qu’ils soient animaux humains ou non humains).

Et si aujourd’hui tu prenais le temps de t’interroger et t’informer sur les solutions qui s’offre à nous pour améliorer un peu le monde ? Tu vas me dire « un peu » ça sert à rien, ce n’est pas mes actes solitaires qui font changer le monde. Certes…mais un peu + un peu + un peu ça fait beaucoup. Gandhi disait : « Sois le changement que tu veux voir dans le monde.» cette magnifique citation est une merveille parce qu'effectivement on ne peut pas changer le monde, ni les gens ce serait une perte de temps et d'énergie que de vouloir le faire ;  mais on peut se changer soi-même, changer ses habitudes, donner autour de soi à la hauteur de ce que l’on peut faire, à la hauteur de ce que l’on veut réellement faire. Changer son regard tout simplement...

Donner un « simple » sourire peut tout changer dans la journée d’un voisin, donner une petite attention, un bonjour dans la rue, aider quelqu’un, offrir son temps…tout cela est tellement précieux !!!! C’est une richesse infinie et merveilleuse. Si chacun d’entre nous donnait un peu de lui cela créerait de la richesse. Pas une richesse monétaire, celle-là est illusoire ; mais une richesse qui vient du cœur, qui transmute tout, qui dépasse tout.

En plus donner nous offre un sentiment extraordinaire, ça nous rempli, ça nous transporte...avoir le sentiment de bien agir est merveilleux ! Parce que nous sommes en alignement avec notre cœur, avec notre âme, avec notre vrai nous. Donner c'est recevoir aussi, en donnant tu recevras et tu redonneras encore et recevras encore dans un cercle sans fin, exponentielle et infini !

Il ne tient qu'à toi de vivre en ouvrant ton cœur, de vivre en étant généreux. Le monde serait certainement plus beau si tout le monde le faisait, non ? Les choses sont en train de bouger, les énergies changent, j'ai foi en l'avenir et en l'homme, bientot nous ferons naître un monde d'amour...bientôt....

Croire en soi.

Pourquoi est-ce si difficile parfois ?

La société, notre éducation, nos peurs, nos doutes, notre manque de confiance un peu tout ça à la fois nous empêche de le faire. C'est d'autant plus difficile que la société nous oblige bien souvent à porter un masque. Ce masque qui n'est qu'une parodie de nous-même.

Non, ce n’est pas aussi simple que cela de croire en soi. Cela devrait être naturel, cela devrait aller de soi, mais ce n'est pas le cas. Pourtant ceci est la base de tout ! Si je ne crois pas en moi et en mes capacités de réussite, qui va le faire ?

Ne pas croire en soi c’est un manque d’amour envers soi-même c’est une négation de nous-même.

La peur paralyse et finit par nous empêcher d’avancer.

Il faut nous libérer de ce fardeau ; nous sommes seuls détenteur de la clé pour sortir de la tour d’ivoire dans laquelle nous nous sommes enfermés. A partir du moment où nous ouvrons cette porte nous ouvrons le champ du possible…nous laissons tomber la chaine qui nous retient et nous pouvons nous envoler vers nos rêves. Notre plein essor dépend de nous.

Envole-toi, et crois en toi, libère-toi toi-même de tes chaines ! Tu ne sais pas  comment faire ?

Alors commence par t’aimer.

Aime cet être que tu es, sans condition ni exigence. Tu n’as pas besoin d’être parfait, personne ne l’est, ce n’est humainement pas possible alors ne t’encombre de ce tracas. On fait de son mieux et c’est déjà une belle chose ! Et si tu n’as pas toujours fait de ton mieux dans le passé alors pardonne-toi. Et si tu t’es égaré ou trompé alors pardonne-toi également. On a le droit à l’erreur, puisque nous ne sommes pas parfaits. Ce qui est fait est fait tu ne peux plus revenir dessus, essaie de réparer des torts du mieux que tu le peux et commence par réparer le tort que tu te fais à toi-même en ne t’aimant pas.

Nous sommes tous logés à la même enseigne, nous vivons notre vie d’être humain chacun dans le même grand bateau, personne ne vaut mieux que toi. Personne ne vaut moins que toi. Tu es toi ; à la fois parfait et imparfait. Et cela est très bien ainsi !

Accorde-toi un regard apaisant et bienveillant. Soit doux et accueillant envers toi-même. Tu es un être divin resplendissant et aimable. Nous sommes tous des êtres divins resplendissants et aimables.

Prends conscience de cela et montre au monde ton vrai visage. Libère toi de ton ancien toi qui ne fait que vivre en conformité avec la société actuelle. Plutôt que de porter un masque de toi même sous lequel tu es malheureux et emprisonné, offre toi au monde tel que tu es, montre lui quel être merveilleux tu es !

Bonjour à tous !

Aujourd'hui c'est un peu particulier car j'ai le plaisir et l'honneur de vous présenter le texte d'un ami cher à mon cœur : Symbiose de UN.  Ce poème sur le temps est sa réponse à mon écrit d'hier (Prendre le temps de prendre son temps), comme il le dit lui-même c'est une voie parallèle, un croisement car toutes nos routes se croisent, s’entremêlent puisque nous sommes UN divisés dans la chair.

 Merci à toi pour ton poème, et merci de vouloir le partager ici. Tu es le bienvenu pour de prochains partages !

Symbiose de UN m'a demandé de trouver un titre le voici (désolé il est un peu long..)  :

Quand UN rencontre UN et UN la symbiose opère, la magie du cœur s'installe puis le temps suspend son souffle le temps d'un battement d'aile, sous le regard bienveillant du petit bout d'ange à l'épée...

"On en perd,on en prend,on en offre a autrui.
Tu le gâches quand tu le remets a demain.
Il nous laisse sa marque et n'appartient qu'à lui.
Tu l'amasses mais pourtant,il t'en reste encore moins...
Il ralentit l'attente,passe trop vite dans la joie.
Le passer enfermé est conséquences des lois.
Tu veux en gagner plus,et tu t'apercevras
Qu'une chose compte a la fin,c'est jouir du peu qu'on a.
Même s'il n'existe pas,ses outrages nous embêtent,
Tu fait un saut dedans,tu vois passé,avenir.
Il n'en restera plus à ton dernier soupir.
Seul l'amour partagé fait que ce temps s’arrête..."

Symbiose de un

Prendre le temps de prendre son temps.

Notre société nous enseigne depuis tout petit la course au temps ! Du lever au coucher en passant par la case salle de bain, école, repas, devoirs nos enfants doivent courir aussi vite que leurs parents ! Et ces derniers ne sont pas en reste surtout s’ils travaillent ! Vite préparer les repas, vite faire le ménage, vite faire les courses, vite aller au travail, vite récupérer les enfants…. Même l’information doit aller vite, un ordinateur ou un téléphone performant doit aller vite sinon « ça rame » et ça agace surtout ! (moi la première !!!). Vite, vite toujours plus vite, mais pour aller ou au final ? Pour faire quoi ?

Au final on oublie dans ce tourbillon temporel de prendre le temps de prendre le temps ! Profiter de l’instant présent devient compliqué - non pas parce que ça l’est fondamentalement car dans le fond il suffit de le vouloir - mais nous perdons l’habitude de prendre le temps. Emprisonné au quotidien dans le fait de « devoir » on en oublie « d’être ».

Nous perdons aussi l’habitude de profiter de l’instant présent trop inquiet pour « demain » encore embrouillé avec « hier ». Or « hier » et « demain » n’existent pas ! Oui « hier » est révolu, terminé, inchangeable. Y repenser –surtout dans l’inquiétude – est inutile c’est une perte d’énergie formidable. Quant à « demain » il n’existe pas encore et s’en inquiéter revient à donner forme à des soucis futur (vous êtes-vous déjà interroger sur le fait que dans la « réalité » nous créons nos soucis futurs  aussi surement que nous créons nos cauchemars dans nos songes la nuit ?) et là encore c’est une perte d’énergie (et de temps).

Et si nous réapprenions à prendre le temps de prendre le temps ?

Profiter de l’instant présent.

Etre réellement là dans l’action menée sur le moment, quelle qu’elle soit !

Etre.

Voilà tout dit ! Etre soi, présent à soi et présent dans l’instant. La présence dans le présent….Présent dans le présent.

Présent dans le présent est un présent que je me fais.

Ce n’est pas pour rien que le mot présent possède différent sens ; cette phrase « Présent dans le présent est un présent que je me fais » revient à dire : « Être là dans l’instant est un cadeau que je me fais »…tout est présent, tout est là ;)

Tout est donc instant, ici et maintenant.

Et si cela nous incitait à profiter de cet instant présent, de ce moment unique et magique ? De s’arrêter dans la course effrénée de nos vies pour vivre. Vivre plutot que de courir après notre vie. Il ne s’agit pas de faire quelque chose d’extraordinaire et de transcendant à l’instant mais juste de prendre conscience de soi dans ce temps présent.

Etre là en pleine conscience ! Etre là pleinement et agir pleinement en état de conscience absolue.

Et si c’était la clé du bonheur ?

Un bonheur à portée de main… ;)

Que l’amour inonde vos cœurs.

Que cet océan d’amour qui s’offre à vous nettoie les émotions toxiques, qu’il vous enlève dans le roulement tendre de ses vagues apportant l’apaisement dont votre esprit a besoin en ces temps tumultueux.

Laissez-vous bercer par le ronronnement de l’eau amour qui s’infiltre en douceur en vous.

Fermer les yeux, et recentrez-vous sur vous-même. Là dans ce calme intérieur retrouvez l’harmonie dans un bien être bienveillant et bienvenue.

Restez là aussi longtemps que vous en ressentez le besoin puis ouvrez les yeux quand vous vous sentirez prêt.

Vous êtes désormais le réceptacle de cet amour et vous pouvez l’irradier autour de vous.

Ne laissez plus ce qui se passe à l’extérieur de vous affecter votre intérieur.

Votre intérieur est votre temple, recentrez-vous en vous-même dès que vous en ressentez le besoin. Ne laissez rien ni personne briser votre temple intérieur, ce lieu paisible de quiétude où réside votre essence divine. Si cela arrive malgré tout, n’oubliez pas qu’il vous suffit d’une intention, d’une pensée lumineuse pour le reconstruire.

Il est normal de ressentir de la colère face à des événements sombres mais si vous écoutez votre cœur vous vous apercevrez qu’il ne veut pas rester dans la colère car cela vous nuit en réalité.  Et cela nuit aussi à ceux qui vous entourent. Apportez à votre cœur amour et bienveillance car cela vous permettra de l’offrir en présent à ceux que vous aimez et même au monde entier !

La colère est une émotion humaine et je ne tiens ni à la juger ni à la condamner. Si elle existe c’est qu’elle a son utilité. Servez-vous en si cela vous semble juste, mais ne restez pas trop longtemps sous son joug afin de vous préserver de ses foudres. Et rappelez-vous de vous recentrer sur vous-même et de laisser l’amour vous submerger tel un océan purificateur, lumineux et merveilleux. L’amour est et sera au final notre seul rempart face à l’obscurité.  

N’oubliez pas que si nous sommes plongés dans l’obscurité une bougie peut nous aider à trouver la sortie ; mais si nous sommes ténèbres nous-mêmes alors nous resterons dans le noir. La bougie c’est vous, c’est moi, c’est nous ; alors brillons dans l’obscurité qui nous entoure avec tout l’amour que nous éprouvons pour trouver tous ensemble la porte vers un monde plus lumineux.

Que l’amour inonde vos cœurs.

Je vous aime.

Marion

Lumière...

Nous sommes tous des lumières, de belles et ardentes flammes d’amour infini que L’Univers a insufflé en nous. Il ne tient qu’à nous de faire briller cette flamme aussi intensément que le soleil.

Le soleil est porteur de vie et nous portons cette vie en nous-même.

N’oublies jamais que tu viens du firmament des étoiles et que tu es un soleil. Tu as tout en toi-même pour te réaliser et crée ta vie. Tu peux en faire une fête et y faire briller ta lumière ou tu peux faire régner les ténèbres dans ta vie. Tu as le choix.

De ce choix naitra la vie, la lumière ou le chaos, l’obscurité.

Je t’invite à briller tel le soleil que tu es en réalité car c’est par ce chemin que tu trouveras la joie et que tu pourras l’offrir à autrui. Un don d’amour se multiplie à l’infini : puisant dans l'énergie des coeurs aimants, il s'amplifie de coeur en coeur pour apporter un souffle de vie chargée de lumière. Alors que les ténèbres engouffrent ton être et insufflent un vent de malheur autour de toi et en toi.

Puisque tu es créateur et puisque tu portes la vie en toi pourquoi ne pas diffuser cette création, ce soleil intérieur pour te l’offrir en présent et l’offrir au monde entier ? Là est la voie de l’Amour inconditionnel porteur de vie, d’espoir et de joie infinie !

Brille mon ami, brille de mille feux et offre toi l’Amour, libère toi de tout ombre pour construire ton monde d’amour et de joie.

Tu peux le faire, tu peux en réalité tout faire si tu te libères toi-même ! Crois en toi et brille. Laisse tes chaines au sol, détruis ce qui te retient de briller. Tu verras que ce que tu trouveras dépassera tes rêves et tes espérances les plus fous…

Mais au fait…sais-tu ce que tu trouveras ? Dieu ? Non. Pas vraiment. C’est TOI que tu découvriras.

TOI, non pas ce masque de toi que la société t’oblige à porter, mais bel et bien le vrai Toi.

TOI, porteur de lumière, porteur de vie.

TOI, ce rien fait de tout.

TOI, ce tout fait de rien.

TOI, cet univers infini, dans ce corps fini. Infini et fini dans le même temps.

TOI, qui est un Dieu en puissance, un Dieu en devenir, un Dieu Créateur. Dieu c'est toi et toi tu es Dieu.

TOI, la goutte d’eau de l’océan ; séparé en des milliers et des milliers de gouttes qui sont des autres toi, différents et identiques à la fois. Complémentaires, uniques et unis. Toi qui es autant goutte d’eau qu’océan.

Ami, fais briller ton soleil intérieur…et crée de la lumière autour de toi mais surtout EN TOI !

Je t’aime.

Ami te sens-tu seul parfois ? Est-ce que résonnes en ton cœur le silence glacial de la solitude ou la morsure de la souffrance ?

Ami je ressens ta peine et la partage, je suis là près de toi, ami invisible mais si présent. Souvent je te caresse les cheveux et te murmure mon amour et mon réconfort. Je suis si heureux lorsque ma Lumière parvient à te toucher, qu’elle t’illumine de tout mon amour étincelant, cela me transporte de joie et d’amour. Oh combien je chéris ces moment-là ou notre union est totale car tu t’abandonnes et tu laisses aller ton cœur ! Alors ton cœur bat à l’unisson avec le mien et avec tous les cœurs battants de l’Univers. Tu aimes ces moments toi aussi, et ils te font tellement de bien ! Se sentir cœur et âme connectés, unis dans cette magie de la vie palpitante, est merveilleux. Nous retournons le temps d’un battement de cœur à la source de tout. C’est pourquoi tu te sens si bien dans ces moment-là.

Seul tu ne l’es jamais. Car en vérité je te le dis si tu te sens seul c’est que tu as fermé la porte de ta tour d’ivoire…tu t’es muré dans ce silence. Je ne te blâme pas, mon ami si cher à mon cœur, je connais ton âme et je connais aussi ton corps physique et les difficultés de cette incarnation. Je sais à quel point ce n’est pas facile dans cette réalité terrestre de garder son cœur ouvert à l’amour et à la joie infinie de toute chose !

(Mais rassure-toi, si ton oreille et ton cœur se ferment à mes paroles ce n’est pas grave car je parle à ton âme. Et je trouve toujours comment et par qui t’envoyer le message !)

Tu le sais nous sommes tous liés et reliés, tous Un à jamais. Tu le sais mais pourtant parfois cela ne suffit pas. Je connais ta douleur lorsque tu souffres de ne pas sentir de bras t’entourer et te réconforter. Ou combien il est pesant de ne pas entendre de voix amis t’assurer que tout va bien se passer ou te faire rire…t’emmener balader, de prendre par la main…tous ces gestes dont tu as tellement besoin ! Je sais que dès lors ma présence peut t’apparaître bien illusoire…je sais aussi combien tu peux te sentir inutile, transparent et vide.

Combien alors j’aimerais forcer cette porte que tu as fermé, combien j’aimerais te sentir être bien et en sécurité dans mes bras ! Je souffre avec toi et souvent j’appelle d’autres amis - invisibles ou non - pour qu’ils forment autour de toi un halo de lumière et d’amour.

Dans tes moments de doutes, de tristesse ou de solitude, ferme les yeux et écoute les battements de ton cœur, respire profondément et lentement. Recentre-toi dans ton centre intérieur, ce lieu en toi unique et merveilleux. Sens et ressens notre amour infini pour toi qui pulse au rythme de ton cœur.

Souvent j’envoie à toi des âmes proches de la tienne qui sont incarnées elles aussi sur cette Terre - de beaux papillons d’amour - je les invite à te parler, à te réconforter de leurs paroles et de leur présence.

Ces relations même si elles ne sont que virtuelles sont si réelles et si riches ! Peu importe si tu ne vois jamais physiquement ces amis d’internet, peu importe si vous vous perdez de vue ci tôt après avoir fait connaissance ! Peu importe si vous n’échangez qu’un petit « j’aime » de temps à autre ou une petite parole. Cela n’a guère d’importance, sais-tu pourquoi ? Parce que le lien perdure entre vous.

Le lien est présent et c’est un présent.

Le lien de toutes ces gouttes d’eau qui appartiennent au même océan. Ces liens t’aident à prendre conscience que la réalité physique et la réalité du cœur sont deux réalités réelles. Elles sont aussi importantes l’une que l’autre. Tu dois expérimenter les deux : apprendre de ta réalité physique car c’est cela que tu es venu chercher en t’incarnant sur Terre. Mais aussi expérimenter et réapprendre la réalité du cœur, celle qui n’a besoin ni de matière ni de réalité physique pour se vivre.

Ton âme le sait bien elle…laisse-la te parler d’amour…laisse ces papillons venir à toi, te caresser de leurs ailes si douces et te porter tout cet amour et ce réconfort dont tu as besoin…laisse ces papillons entrer en toi et dès lors laisse ton papillon intérieur s’envoler avec eux et voler, voler, voler loin dans le ciel à la rencontre de milliers de papillons lumineux…puis ensemble, tous ensemble, voler jusqu’à l’infini et voyaient cet infinité de papillon volant dans le même battement d’ailes, scintillants de mille reflets lumineux. Ressens cet amour infini…le temps et l’espace se mêlent, tout se déroule rapidement et si lentement, à la fois ici et maintenant et partout pour toujours ! Regarde le ballet de ces beaux papillons : ce sont toutes nos âmes qui dansent ensemble dans une Grâce éternelle et immortelle. Rejoins-nous mon ami et danse avec moi, danse avec nous…viens petit papillon…je suis là, je te serre dans mes bras, je te protège, je veille sur toi et je t’aime.

Écoute ton cœur

Il se peut que parfois il te dise quelque chose qui va à contre courant de ce que dicte la société, n'aies pas peur et écoute-le. Nager à contre courant est plus difficile mais tu auras le sentiment d'une action accomplie.

Plus tu écouteras ton cœur, mieux tu te sentiras.

Si tu te contentes de suivre les autres sans conscience de toi même tu émettras de basses vibrations et en retour tu rencontreras des gens ou des situations au même niveau que toi.

Suis ta propre voie et écoute ton cœur.

Alors tu goutteras au bonheur de vivre en harmonie avec toi même et de ce fait tu attireras de belles choses à toi car cela sera en adéquation avec ce que tu émets. Suis ton cœur car il est ton meilleur guide.

Fais toi ce beau cadeau d'une vie lumineuse et harmonieuse.

Écoute ton coeur

Il est des mémoires qu'il faut oublier,
Il est des mémoires dont on chérie les souvenirs,
Il est des mémoires que l'on voudrait revivre,
Il est des mémoires si lointaines qu'elles ne nous parviennent que par fragments éparses,
Il est des mémoires si vives qu'elles nous brûlent parfois.
Il est surtout des mémoires que nous devons laisser au passé car ce passé n'est plus et ne sera jamais plus.

Il est des présents à vivre et à savourer car rien n'est plus beau, ni plus unique que l'instant présent.

Plutôt que de penser au passé, de le regretter ou de vouloir le revivre concentrez vous plutôt sur votre présent car à raisonner ainsi c'est l'instant présent que vous allez regretter demain ne pas avoir vécu....et de ce fait c'est l'instant présent - l'ici et maintenant - que vous gâchez avec ces mémoires. Laissez le passé au passé, ce qui a été ne sera plus et ce qui est....est...il vaut mieux être que d'avoir été....alors....

...vivez, riez, dansez, aimez pleinement ce moment unique, ce présent, ce ici et maintenant ! Vivez mes amis, vivez !!!

Nous sommes une œuvre d’art. Nos pensées, notre cœur, nos sentiments, nos émotions, nos croyances (etc….) se superposent les unes aux autres telles des touches de couleurs sur l’œuvre d'art que nous sommes. Ensemble elles forment une partie de nous-même et selon les personnes qui nous regardent tous ne verront pas forcément la même chose un peu comme s'ils ne voyaient qu'une perspective de l’œuvre qu'ils contemplent. Et puis comme dans tout œuvre d’art, nous ne voyons que ce que sommes prêt à voir, que ce nous pouvons voir ! Si on observe un tableau à différente période de notre vie avec des humeurs différentes on ne sera pas forcément saisi de la même manière à chaque fois car notre regard peut changer….il en est de même avec nous, tant sur le regard que nous portons sur nous-même que sur le regard que les autres portent sur nous.

Il est donc normal si on suit cette logique d’accepter ce regard changeant et de pardonner à cet « autre » qui peut être ne nous regarde pas de la façon dont on voudrait qu’il nous regarde. Il faut prendre conscience que le regard de cet autre que nous même n’est pas de notre ressort : il faut accepter de ne pas avoir de contrôle dessus. Et il faut s’en détacher, ne pas y accorder d’importance. Le regard de l’autre n’est qu’un prisme, une perspective qu’il a de nous. Ce n’est pas nous ! Si nous nous focalisons dessus nous risquons de vouloir adopter sa perspective à lui…or le regard de l’autre ne doit pas faire changer notre propre regard sur nous-même. Quoi qu’il arrive et autant que possible gardons un regard aimant et bienveillant sur ce beau et merveilleux être que nous sommes. Ce merveilleux être, cet œuvre d’art colorée, lumineuse et vibrante….

Il est en notre pouvoir de changer de pinceaux ou de couleur pour trouver ou retrouver l'harmonie. Nous avons le pouvoir de changer pour faire de nous l’œuvre d’art que nous voulons être. Nous pouvons même prendre notre pinceau afin de tout recouvrir de peinture blanche pour faire table rase de notre « ancien nous » afin d'être plus en adéquation avec ce que nous voulons devenir - tel l'artiste qui souhaite repeindre sur un vieux tableau.

Nous sommes une œuvre d'art et notre cœur en est l'artiste, à nous de l'écouter et de peindre ce que nous voulons être ! Ne laissons pas quelqu’un d’autre peindre à notre place, soyons l’artisan de notre tableau, de notre vie, de notre bonheur…

Ami,

Je suis qui je suis, et tu es qui tu es. Nous sommes séparés, chacun dans un corps mais nous sommes dans le même temps réunis et ensembles : UN divisé en des milliards de particules tout à la fois séparés l’instant d’une vie et unis à tout jamais. Tous semblables en nous-même bien que différents physiquement.

Si tu rejettes « l’autre » à cause d’une différence – quel qu’elle soit - c’est comme si tu te rejetais toi-même car lui et toi êtes une partie d’un tout ; une facette du tout. Il est fort dommage de perdre une énergie folle à haïr « l’autre » alors que l’on peut passer du temps à s’aimer. Au final tu te rendras compte que c’est à toi-même que tu fais le plus de mal en haïssant cet « autre » qui est toi sans l’être vraiment, tout en l’étant. Mais cette leçon-là tu devras la comprendre et l’apprendre tout seul (bien que l’on puisse t’aider, la compréhension te sera propre).

Ami, rends-toi service : aimes l’autre comme tu souhaites que l’on t’aime et aimes-toi comme tu rêves d’être aimé. Tu ne peux qu’être guidé sur ce chemin car c’est à toi qu’appartient le choix de le parcourir ou non.

Toutefois garde à l’esprit que….

L’amour est la seule chose qui est et qui reste.

L’amour est la seule chose de vraie : l’amour transcende, l’amour illumine.

L’amour est la seule chose qui résonne autant en toi, au plus profond de toi. Rien ne résonne en toi comme l’amour.

L’amour est la seule chose qui fait vibrer ton âme et ton cœur au diapason.

L’amour est la seule chose qui te donne cette joie indescriptible, cette légèreté d’être, cet état de bonheur absolu et total.

Car….

L’amour te donne des ailes, il te donne de l’espoir et du rêve. Il fait pétiller tes yeux, te donne des papillons au creux du ventre et te transporte au delà de tout.

L’amour donne la vie…l’amour c’est la vie et la vie c’est l’amour.

L’amour se partage, se donne, se prend, se transmet, s’attrape, se propage à l’infini.

L’amour est intemporel, il dépasse le temps, les frontières, les mondes et les réalités. L’amour est commun à tous les êtres qu’ils soient de ce monde ou d’un autre. L’amour se fiche de ton sexe, de ton âge, de ta couleur de peau, de ta race, de ton passé ou de ton avenir. L’amour entre deux êtres est au-delà des limites. L’amour a cela de grand qu’il touche tout le monde et toute les relations qu’elles soient familiales, amoureuses ou amicales, qu’elles soient éphémères, intemporelles, récentes ou anciennes. Il touche même celles qui n’ont pas encore démarrées dans notre réalité….il est tout à la fois passé, présent et futur.

L’amour a un pouvoir immense : il apaise, soulage, guérit, répare le cœur et l’âme... L’amour est la plus belle et la plus forte de toutes les émotions que tu peux ressentir. C’est aussi le plus beau des cadeaux à offrir et à recevoir.

L’amour est magique : plus tu en donnes plus tu en reçois.

Ami, cite moi une seule chose ici ou ailleurs qui est ce pouvoir universel, magique et intemporel...

Ami il n’y en a pas…car Aimer c’est toucher le cœur de Dieu.

Je t’aime.